© Roland Meige 1987
" data-image-title="15_12-27.gg2" data-orig-file="https://grandgeocoucou.files.wordpress.com/2020/11/15_12-27.gg2_.jpg" data-image-description="" data-image-meta="{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"1"}" width="670" data-medium-file="https://grandgeocoucou.files.wordpress.com/2020/11/15_12-27.gg2_.jpg?w=300" data-permalink="https://grandgeocoucou.com/2022/07/17/sur-les-chemins-nomades/15_12-27-gg2/#main" alt="" height="446" srcset="https://grandgeocoucou.files.wordpress.com/2020/11/15_12-27.gg2_.jpg 670w, https://grandgeocoucou.files.wordpress.com/2020/11/15_12-27.gg2_.jpg?w=150&h;=100 150w, https://grandgeocoucou.files.wordpress.com/2020/11/15_12-27.gg2_.jpg?w=300&h;=200 300w" class="size-full wp-image-13793" data-large-file="https://grandgeocoucou.files.wordpress.com/2020/11/15_12-27.gg2_.jpg?w=670" />Dans l’air du temps, ce blog est menacé de crise : crises énergétique et alimentaire en vue pour l’ensemble de la planète, et là, c’est le manque de contenu qui se manifeste.
A deux articles de l’épuisement des réserves de récits de voyages, cette longue aventure de plus d’un demi siècle interrompue, brutalement, pour cause de guerre en Ukraine : la Russie, dernier objectif des derniers voyages en cours.
Mais avant de fermer ce blog, ouvert il y a bientôt 9 ans, je veux lui assurer ce que je crois être une méritée prolongation. Alors je vais avoir recours à une vieille ficelle, un truc ringard que n’hésitent pas à exploiter les chroniqueurs et blogueurs qui n’ont, en fait, rien à raconter : la recension. Quelques-unes, intercalées entre les derniers vrais récits de vrais voyages.
Hors donc, pour jouer les prolongations, je vais vous servir quelques réflexions et critiques sur des ouvrages lus récemment. Facilité je vous l’accorde, mais c’est l’été, un été chaud, il faut être indulgent, je vous en remercie, chers lecteurs, fidèles, j’aime à le croire…
Lire l’article : « Sur les chemins nomades ». Nicholas Jubber