Je tiens à vous dire déjà que cet article relate de notre ressenti et nos péripéties pendant ces 5 jours. Ce discours est donc très personnel et subjectif, et chacun peut, bien sur, avoir un avis différent du notre.
Lundi 28 mai était un jour férié aux Etats-Unis. Pour profiter de ce long weekend, nous avons décidé de découvrir la Nouvelle-Orléans ! Nous sommes donc arrivés le mercredi soir à notre logement sur Canal Street, à 10 minutes du centre-ville : emplacement parfait !
La Nouvelle-Orléans est vraiment une ville unique et incroyable. L’air est humide et suffocante. Mais bien heureusement, le passage fréquent des pluies diluviennes refroidit l’air, devenant tout de suite, beaucoup plus supportable!
Une certaine euphorie se dégage des rues en permanence, digne de la fête de la musique en France, ce qui nous donne l’impression d’être en période estivale pendant un simple jour de semaine. Des musiciens s’approprient les bancs et trottoirs un peu partout dans la ville, même dans les endroits qui se disent les plus silencieux… Je n’ose imaginer ce qu’il en est le jour de Mardi Gras !
De toutes les villes américaines que nous avons visité ou vécu jusqu’à présent comme San Diego, New York City, Los Angeles, Miami, Las Vegas, et bien d’autres encore, nous trouvons que la Nouvelle-Orléans est la ville la plus vivante et bohème à la fois, des États-Unis !
C’est la ville où sont nés le Jazz et Louis Armstrong, une idéole américaine et mondiale de ce stype de musique… Si vous aimez le jazz, et que vous n’avez pas encore mis les pieds à la Nouvelle-Orléans, alors vous loupez quelque chose !! Et si vous êtes amateur de fruits de mer et de bonne cuisine, vous allez tout simplement ADORER !!
Jour 1 : beignets, French Quarter, Mardi Gras World
Première chose : goûter aux beignets ! Nous voila donc au Café Beignet, qui offre, dans un cadre authentique, de délicieux beignets tout frais, comme les beignets que l’on fait à la maison. Nous avons donc profité de cette petite dégustation à la terrasse de ce restaurant.
Nous nous sommes ensuite baladés dans le “French Quarter” (Vieux Carré français) de la Nouvelle Orléans, et plus particulièrement :
- sur Bourbon Street et Royal Street, où se déroulait un événement “Wine Food” (vin et nourriture),
- devant la cathédral Saint-Louis, et le parc Jackson Square avec sa multitude d’attelages pour faire le tour de la ville en carriole (pour ceux qui aiment les chevaux ),
- sur les bords du Mississipi où nous avons pris place sur les marches, prisoniés du passage du train nous faisant barrière à la ville pendant 20 minutes (les trains aux Etats-Unis sont d’une longueur interminable),
- dans le parc Woldenberg,
- dans le parc national Jean Lafitte qui se situe en plein cœur de la Nouvelle-Orléans, où nous avons appris beaucoup de choses à propos de l’histoire des Créoles et des Cajun, leur origine, leur signification…
Toulouse à la Nouvelle-Orléans!
Il faut savoir que la Nouvelle-Orléans, plus précisément l’Etat de la Louisiane a été colonisé par les Espagnols et les Français. C’est pourquoi on y trouve des maisons à l’architecture typique espagnole et française, des rues avec des appellations françaises et espagnoles, ainsi que des quartiers à tendance espagnole, et d’autre française.
Ensuite, place à la visite du musée Mardi Gras World ! Ce musée n’est autre que l’entrepôt où sont stockés les figures et chars utilisés pour le défilé le jour du Carneval. Ces scultures de toutes sortes, sont d’envergure grandiose, et d’une finesse de fabrication époustouflante ! Pendant un instant, nous nous sommes sentis plongés dans le monde festif de Mardi Gras, nous donnant un aperçu de ce que peut ressembler ce jour de carnaval ici, à la Nouvelle-Orléans. Et c’est fascinant de voir les coulisses de ce monde, et ce qu’il s’y cache..
Nous avons fait la connaissance de l’imposant et majestieux King Kong, mais aussi de sa compagne, Queen Kong, qui aiment jetter des noix de coco sur les passants. Aglutinées dans ce hangar, ces sculptures impressionnantes et tellement réalistes quelque fois, peuvent prendre des allures terrifiantes. Est-ce que vous aimeriez vous, qu’on vous oublie et vous enferme à l’intérieur du musée pendant une nuit ? Je ne sais pas si j’aurai vraiment envie de vivre cette expérience en tout cas, mais ça peut donner de bonnes idées pour Halloween.
Au cours de la visite, nous avons appris la façon dont sont fabriqués ces statues (oui, on peut le dire comme ça), le circuit de fabrication, les matières et les outils qu’ils utilisent, etc. . Et nous avons vu en direct, les employés à leur poste de travail, en train de créer de leur propre main !! Même si maintenant nous savons comment ça fonctionne, je ne vous en dirais pas plus dans cet article, pour vous laisser la surprise. Allez visiter le musée par vous-même ! Je vous le recommande vivement. C’est $20 l’entrée, et il y a des navettes gratuites qui font l’aller retour depuis le Harrah’s Louisiana Downs, le seul casino de la ville grace à la politique très stricte de celle-ci.
Nous avons fini notre journée au restaurant Royal House sur Royal Street, où nous avons savouré un très bon “Shrimp” (crevettes) Créole, et un “crawfish étouffé” (écreuvisse à l’étouffé), spécialité de la Nouvelle-Orléans : à absolument tester !
Jour 2 : maison de 1860, French Market, concert de jazz sur un bâteau à vapeur
Nous avons commencé notre journée à engloutir un po’ boy, diminutif de “poor boy“, sandwich composé essentiellement de viande comme la viande de bœuf rôti, ou encore de fruits de mer, ou encore, de saucisse de viande ou de fruit de mer (oui oui, de la saucisse de fruits de mer…), une spécialité de la Nouvelle-Orléans.
Ensuite nous avons visité Gallier House, la maison typique d’un architecte, construite dans les années 1860. Le temps de la visite, nous nous sommes imaginés parmis cette famille de classe moyenne qui vivait là, pendant la période de l’esclavage, et après son abolition : sans électricité, sans chauffage central, mais entouré de petites mains qui allumaient toutes les bougies une par une, s’occupaient du feu de cheminée dans toute la maison, et bien plus encore… Et ceci, tous les jours. La maison n’a pas été retouchée ou utilisée à des fins commerciaux, tout est authentique sauf les meubles qui ont été récupérés, mais qui donnent vraiment un bon aperçu de la vie à l’époque. Nous avons payé 15$ chacun pour cette visite guidée avec un vrai guide très sympa, je recommande vivement !
Ensuite, nous avons été boire un coup au French Market, un marché aux puces, allant de la nourriture aux petites brocantes, parfait pour une pause dans la journée !
Nous avons ensuite tenté le Café du Monde, ce fameux café recommandé sur tous les guides touristiques. L’endroit est tellement réputé, que le service se fait à la chaine afin de pouvoir service tout ce monde… Effectivement, où l’y mange des beignets frais, aussi bons que ceux du Café Beignet du premier jour, mais sans le cadre authentique et paisible. Même si ce café est le plus connu de la ville, nous ne lui avons rien trouvé d’exceptionnel finalement. A choisir entre les 2, notre préférence se porte sur Café Beignet.
Puis nous avons embarqué au bord d’un bateau à vapeur, un vrai !! Sur lequel nous avons dîné, le tout accompagné d’un concert de jazz en live. Pendant la traversée, nous avons pu profiter de l’histoire de la ville et du Mississippi, raconté par notre guide.
Nous avons pu entrer dans la salle des machines du bâteau, où se trouve le mécanisme du moteur à vapeur, et donc, le début des impressionants arbres à came qui entrainent l’immense roue du bateau.
Arrivé à quai, et après que tout le monde soit descendu, nous avons eu l’honneur de contempler un formidable feu d’article annoncé nul part (merci à notre serveuse qui nous avait donné l’info quelques minutes avant, après avoir reçu une pièce de 2$ !), assis en première loge avec un verre de vin, depuis le pont du bâteau : la grande classe !!!! Ce feu d’artifice… C’était pour fêter les 300 ans de la ville.
Jour 3 : Baton rouge, lac Ponchartrain, Houma House Plantation and Gardens
Après avoir récupéré une voiture de location, nous avons traversé le lac Ponchartrain pile au milieu, en passant par ce pont gigantesque qui divise le lac en 2 ! Arrivés au milieu du lac, nous ne voyions plus la côte, que ce soit derrière, ou devant nous, à droite ou à gauche. Nous étions sur une route infinie, au milieu d’une étendu d’eau sans limite… C’est très déroutant comme impression. La traversée à durer 25 minutes, en roulant normalement.
Une fois touché terre, nous avons fait une halte à Mande’s Restaurant où nous avons testé les huîtres frits sur lit d’épinards artichauts à la crème – Maxime vous en dira des nouvelles – et les œufs Bénédictes à la saucisse d’écrevisses, spécialités de Louisiane. J’imagine ce que vous êtes entrain de penser à ce moment même…
Ensuite nous avons roulé jusqu’à Baton Rouge, où nous avons visité le nouveau Capitol et la chambre des sénateurs. Le Capitole n’a rien d’extraordinaire vu de l’extérieur, mais ça vaut le coup d’oeil. A l’intérieur, nous avons découvert des salles majestueuses, ainsi que l’observatoire qui se trouve au tout dernier étage, avec la vue imprenable sur la ville, le Mississipi et au-delà.
Nous avons eu la bonne surprise de discuter avec un résident, un descendant direct de famille française. C’était surprenant de discuter avec un Américain qui n’a jamais mis les pieds en France, en français… Sa famille a tout simplement réussi à conserver le français dé génération en génération, malgré l’interdiction de l’apprentissage de la langue française dans les écoles une fois la Louisiane rachetée par les Américains. Incroyable ! Les accents et intonnations se rapprochent plus du français que l’on parle en métropole, que celui du Quebec.
Il faut savoir que pendant la conolisation, toutes les familles de moyenne et haute classe en Louisina parlaient français.
Outre le Capitol et le jardin qui le surplombe, le restant de la ville est composé de bureaux où personne ne passe le week-end, car très peu de commerce. C’est une ville assez triste au final. Il est dit qu’à Baton Rouge, le taux de criminalité est assez élevé.
En longant le Mississippi pour le chemin retour, nous avons été étonnés de passer devant d’inonbrables usines industrielles implantées tout le long du fleuve, avec des systèmes de récupération ou rejection d’eau faisant le pont entre les usines, la route, et le fleuve. Nous n’avons encore jamais eu autant de tuyaux de toutes tailles passés au-dessus de nos têtes ! Les environs sont, on ne peut plus dire, assez moroses.
Nous nous sommes arrêtés à Houmas House Plantation and Gardens. La visite guidée comportait uniquement la maison. Nous avons apprécié la beauté du site, les jardins et l’aménagement où nous nous sommes longuement baladés (bravo aux jardiniers et paysagistes !). Cependant, nous avons été déçu par la visite de la maison, et de l’information donnée. On ne sait pas senti plongé dans la vie comme elle l’était au temps des colons, comme ce que nous avions ressenti pour Gallier House le deuxième jour.
Nous avons ensuite attérri au restaurant Frenier Landing au bord du lac Ponchartrain. Nous nous sommes régalés que ce soit au niveau de la vue sur le lac, qu’au niveau du goût. En plus, il y avait un concert en live ! C’était un cadre unique et sans trop de moustiques, pour finir la soirée tranquillement. Car il faut savoir que les environs sont très marécageux, et les moustiques pullulent dans la région !
Jour 4 : Garden District, Street Car et Oysters
De retour à la Nouvelles-Orléans, nous avons pris le Street Car, ligne 12 direction : Garden District !
Le day-pass coûte 3$. Cependant, ayez avec vous la somme exacte en liquide pour payer, parce qu’ils ne rendent pas la monnaie.
Les Street Cars sont des anciens tramways (surtout pour les touristes, on a l’impression). C’est rigolo de voyager installé sur de vieux sièges en bois, dans un tramway qui fonctionne à l’ancienne, les fenêtres grandes ouvertes, une vraie aubaine à cette chaleur écrasante. Certes, ils ne roulent pas aussi rapidement qu’un tramway moderne, mais je conseille fortement ! En plus de ça, certains conducteurs sont très sympas, et ont le sens de l’humour.
Par contre, ne faites pas attention au numéro affiché sur le wagon de tramway, car ce n’est pas le numéro de la ligne, mais juste le numéro du wagon… Nous nous sommes fait avoir, et c’est après avoir laissé passer 3 tramways que nous avons compris qu’ils allaient finalement tous dans la même direction !
Garden District est le quartier où l’on trouve les plus somptueuses maisons de type colonial de la ville. Nous avons alors passé notre temps à contempler ces majestueuses constructions, en nous demandant à chaque minute : combien peut coûter une maison comme celle-ci ?! Nous nous sommes retrouvés ensuite sur l’axe principale du quartier, où s’y trouvent les bars et restaurants.
Vous savez ce qu’on a fait ensuite ? On a visité un cimetiere… Je sais, ça peut vous sembler choquant, mais il faut savoir aussi qu’en Nouvelles-Orléans, les cimetières prennent une place démesurée ! Et ce n’est pas pour rien, vous allez voir. Nous avons visité le cimetière Lafayette Cemetery No 1. No 1, parce qu’il existe aussi le No 2, No 3, etc… Ils ont différentes versions.
En arrivant, un guide nous a proposé de nous faire la visite gratuitement, ce qu’on a accepté avec plaisir. Attention pour ceux qui ne connaissent pas la culture américaine, tout service ici est reconnu à sa propre valeur, pas comme en France ou en Belgique ou peut-être ailleurs. Ca veut dire que si vous êtes content, remerciez votre guide avec un billet ! (Moi aussi d’ailleurs, je passe du temps pour vous expliquer tout ça )
Et pour le coup, nous avons été vraiment enchanté ! Nous avons appris beaucoup de choses sur les cimetières ici. Première chose, les morts ne sont pas enterrés, mais “entassés” dans de petits barraquements. Pourquoi ? Parce que le sol est marécageux, et il est impossible de creuser à plus d’un mètre sans trouver de l’eau. Et apparement, ça ne tente pas aux morts de nager dans une piscine le restant de leur… mort (désolée pour la blague morbide et si je vous ai choqué, mais je n’ai pas pu m’en empécher). Et les emplacements, c’est tout un art ! Comme nous a annoncé notre guide sur une touche d’humour : “it’s the musical chairs” (c’est la chaise musicale).
Le plus bouleversant reste la différence entre le caveau des anciens esclaves, et les autres qui ont le privilège d’avoir leur prénom et nom gravé sur leur tombe, avec leur place atitré. Pour les anciens esclaves ? C’est à mème le sol (pour eux, la piscine mortuaire n’a dérangé personne apparement), pas de gravure, pas de nom. Ma question à notre guide : “Combien sont-ils sur un mètre carré ?” La réponse : “Des milliers, on n’en sait rien exactement, ils n’ont pas été compté”. 1 minute de silence, merci
Je vous en ai dit assez comme ceci, j’arrête là pour le cimetière, sinon je serai encore à écrire cet article semaine prochaine, tellement il y a d’histoires, et vous n’aurez plus de surprise pendant votre voyage. Le mieux est d’y aller par vous-même ! Et vous saurez d’où vient l’expression not touch something with a ten foot pole
Nous avons ensuite passé l’après-midi au parc Audubon à nous relaxer. Puis nous avons fini notre journée dans un restaurant qui s’appelle Superior Seafood, et où nous avons de nouveau savouré une spécialité de Louisiane qui sont les huîtres :
- Chargrilled oyster, les huîtres sont cuites à point au four avec un mélange de fromage à l’ail;
- Bienville oyster, les huîtres sont cuites au four avec de la crème à l’échalote et aux champignons, et finalement;
- Rockefeller oyster, les huitres sont grillés avec des épinards au four.
Et bien je peux vous dire que moi qui n’aime pas les huitres (et les épinards), et bien maintenant : J’ADORE !!!! Mais seulement celles de Louisiane, et à la façon dont ils les préparent qui est juste un pure délice !
Jour 5: Lieu du tournage Django, Laura et Oak Alley Plantation
Pour notre dernière journée, nous avons visité 2 anciennes plantations de canne à sucre, et nous sommes passés devant la plantation Evergreen plantation, là où a été tourné le film “Django Unchained” ! On ne pouvait pas repartir avant d’avoir fait ça ! Nous avions pris un circuit touristique en bus pour la journée, avec un groupe de touristes comme nous.
Laura Plantation
Une des meilleures visites de plantation de notre séjour a été Laura Plantation. S’il y a une plantation à visiter que je vous recommande, c’est bien celle-là. Et en plus, ils offrent des visites en français !
Nous avons énormément apprécié la visite de cette ancienne plantation créole, où nous avons découvert petit à petit, l’histoire de cette famille, les Duparc, qui ont vécu ici de 1800 à 1900 pendant 2 siècles, avec leur petites mains précieuses.
La visite de la propriété a été très complète, en commençant par la visite de la maison de la famille Duparc, pour finir par les cabanes des esclaves.
Beaucoup d’émotions se dégagent de ce lieu, et comme ce qui a été le cas pour le Gallier House, nous avons été littéralement propulsé dans l’histoire de cette plantation au fil des années : depuis sa construction, en passant par l’abolition de l’esclavage, jusqu’aux temps modernes.
A ne pas oublier en plus de la visite, la petite pièce musée, porte de gauche quand vous arrivez, vous y trouverez de nombreuses affiches.. Je ne vous en dis pas plus, allez-y, cela vaut vraiment le détour.
Laura Locoul, dernière propriétaire de la plantation et arrière-petite-fille de Guillaume Duparc, a d’ailleurs écrit ses mémoires et en a fait un livre, vendu maintenant en magasin. Et vous imaginez quoi ? Eh bien je l’ai acheté, je n’ai pas pu résister…
Oak Alley Plantation
Cette plantation est peut-être la plus réputée des plantations gràce à son chemin principal bordé d’immenses magnifiques chênes de part et d’autres, certains chênes ayant plus de 500 ans ; ce qui nous offre un paysage grandiose !
Cependant, après le choc émotionnel suite à la visite de Laura Plantation, celle de Oak Alley Plantation nous a parru très plate et vide de sens. Nous avons uniquement fait la visite guidée de la maison, celle-ci a duré une demi-heure. Comme celle de Houmas House Plantation and Gardens, je n’ai pas retenu grand chose.
Cependant, là où la valeur ajoutée de cette plantation est selon moi, dans les différentes exhibitions basées un peu partout sur le terrain autour de la maison : comme les anciennes cabanes des esclaves (reconstitués on dirait), un film qui explique comment le sucre de canne est récolté aujourd’hui, et auparavant, et un autre stand à propos de la seconde guerre mondiale que nous n’avons pas eu le temps de faire malheureusement.
Et pour finir notre séjour, nous avons testé le banana foster!! Spécialité de la Nouvelles-Orléans encore une fois, ce dessert est tout simplement exceptionnel, quand il est bien fait ! Attention aux attrapes touristes sur Bourbon street, c’est au bout du troisième restaurant que nous avons réussi à en avoir un bon, et c’est chez Arnaud’s sur Bienville Street que nous l’avons trouvé !
Notre séjour touchant à sa fin, nous sommes revenus à la maison avec encore plus de richesses culturelles et intellectuelles.
Est-ce que cette article vous a aidé ? Planifiez-vous de visiter ou habiter la Nouvelles-Orléans ?