35 degrés! C’est Haïti qui nous tend les bras.Nous sommes arrivés au chaotique aéroport de Port-au-Prince en début d’après-midi, sous un chaud soleil. Mes bagages s’étaient égarés pendant un bon moment, à l’extérieur du convoyeur qui tournait à vide. Après une certaine confusion, mon sac a été retrouvé, non sans avoir amorcé les formalités au comptoir des objets perdus. Ça m’évitera la métamorphose que me préparait mes quatre collègues journalistes.La circulation sans véritable signalisation, le bruit des klaxons, les marchands dans les rues ont rapidement donné le ton. Pendant qu’on se dirigeait vers Pétionville, on a dû, à un certain moment, contourner les pylônes plantés directement dans la rue. Les scènes de vie quotidiennes étaient partout sur les trottoirs, dans les ruelles.Enfin, pour lancer le bal gastronomique alors que s’abattait la pluie du début de soirée, j’ai goûté au poulet au djon-djon et au poisson à la croûte de sel, deux plats typiques.
35 degrés! C’est Haïti qui nous tend les bras.Nous sommes arrivés au chaotique aéroport de Port-au-Prince en début d’après-midi, sous un chaud soleil. Mes bagages s’étaient égarés pendant un bon moment, à l’extérieur du convoyeur qui tournait à vide. Après une certaine confusion, mon sac a été retrouvé, non sans avoir amorcé les formalités au comptoir des objets perdus. Ça m’évitera la métamorphose que me préparait mes quatre collègues journalistes.La circulation sans véritable signalisation, le bruit des klaxons, les marchands dans les rues ont rapidement donné le ton. Pendant qu’on se dirigeait vers Pétionville, on a dû, à un certain moment, contourner les pylônes plantés directement dans la rue. Les scènes de vie quotidiennes étaient partout sur les trottoirs, dans les ruelles.Enfin, pour lancer le bal gastronomique alors que s’abattait la pluie du début de soirée, j’ai goûté au poulet au djon-djon et au poisson à la croûte de sel, deux plats typiques.