Quand j'ai vu le thème du nouveau numéro d'Histoires Expatriées, le rendez-vous mensuel créé par Lucie du blog L'occhio di Lucie, soit "Ma nouvelle routine", proposée ce mois-ci par Valérie de Mon Expérience Voyage, ma première réaction a été : "Mais comment je vais traiter ça ?" Panne d'inspiration. Et puis, cela faisait un moment que j'avais envie de reprendre ma rubrique vidéo des Errances viennoises, laissée à l'abandon faute d'idée et de temps (et de matériel adapté, sorry pour l'image qui tremble...). Il n'a pas fallu longtemps pour que le déclic se fasse : c'était l'occasion parfaite de m'y remettre. Pour ce nouveau numéro, je vous propose donc de vous embarquer avec moi dans une journée type de mes week-ends viennois. Et comme toujours, en complément de la vidéo, un peu de contexte, explications et blabla en suivant.
Mon assistant personnel.
Ma routine en semaine est ennuyeuse au possible. Comme je travaille depuis chez moi et que je ne croise pas beaucoup de monde, il n'y a pas vraiment matière à écrire dessus : je me lève le matin quand mon réveil sonne à 8 h (les bons jours) ou à 8 h 55 (la majorité du temps), j'entame ma journée à 9 h, je termine à 18 h et je passe la soirée chez moi. Une à deux fois par semaine, je me motive pour aller faire un peu de sport à la salle qui est à cinq minutes de chez moi. Une fois tous les 36 du mois j'ai quelque chose de prévu (souvent une expo à aller voir, plus rarement un film ou alors je me motive juste pour sortir dîner à l'extérieur) mais sinon je joue vraiment les marmottes. Avec une légère amélioration l'été, quand il fait encore jour en soirée. Passionnant, n'est-ce pas ?
Quand ma semaine de travail se termine le vendredi midi, j'ai l'impression que ma vraie vie commence et je déborde de choses à faire. Pas facile de tout caser en deux jours et demi, surtout quand la météo n'est pas de la partie, comme en hiver. Parler d'une de ces journées rentre complètement dans le thème à mon sens car j'ai adopté une nouvelle "routine" en déménageant. Avant, je ne sortais pas autant, j'habitais dans une plus petite ville avec moins d'opportunités, je n'aimais pas ma région ce qui ne me motivait pas à m'y promener... Pour être honnête, je me demande bien comment j'occupais mes week-ends en y repensant. Maintenant, voici une idée de ma journée type.
J'essaye que ma journée ne commence pas trop tard. En pratique, cela dépend si j'ai fait une insomnie la veille et si je me suis couchée au petit matin... Je fais souvent en sorte d'avoir une réservation : ça m'évite les mauvaises surprises sur place et surtout de traîner au lit jusqu'à pas d'heure.
Les Viennois adorent le petit déjeuner, ça tombe bien, moi aussi : il y a énormément de cafés et de restaurants qui proposent brunchs et formules le matin, voire toute la journée. J'ai pris l'habitude, une fois par semaine (voire même les deux jours en été), de me faire ce petit plaisir et d'aller tester une nouvelle adresse... ou retourner chez mes chouchous. Le rituel est toujours le même : j'établis mon programme de visites ou d'activité, souvent la veille, je regarde si cela colle avec un nouveau quartier que je pourrais explorer et je cherche en fonction un coin sympa pour commencer la journée et me remplir l'estomac. Ce jour-là, j'ai atterri au café Himmelblau (18. Kutschkergasse 36) que j'ai dans ma liste d'endroits à tester depuis des mois.
Ils ont une large palette de petits déjeuners, dont une version vegan (celle que j'ai prise), mais relativement chère : aux alentours de 13 €, boisson comprise (bon point). Mais ce sont vraiment leurs pâtisseries qui m'ont conquises : les parts sont, encore une fois, assez chères (4,20 €) mais leurs gâteaux ont l'air tellement appétissants ! Cela a été une torture de choisir lequel prendre. Est-ce que je recommande pour le petit déj' ? Je n'ai pas été complètement convaincue, peut-être qu'en prenant en dehors d'une formule j'aurais été plus satisfaite. Par contre, pour un goûter, un café ou une part de gâteau à emporter, oui mille fois oui ! Leurs pâtisseries sont délicieuses et sortent plutôt de l'ordinaire (les parfums ne sont pas extravagants mais ça change des spécialités plus classiques).
Ce jour-là, venir petit-déjeuner ici faisait partie de mon plan pour explorer les alentours. Je connais mal ce coin qui est assez loin de chez moi (quarante minutes de transport), j'en profite donc pour prendre un peu de temps sur place : juste devant le café il y a notamment le Kutschkermarkt qui est un petit marché de quartier très agréable que j'ai découvert par recommandation de l'une des personnes que j'ai interviewée pour mon guide sur Vienne. J'aimerais vraiment avoir ce genre de marché au bas de chez moi, ça fait vraiment toute la différence !
Cette partie de la Währingerstrasse est un endroit très animé : il y a plein de boutiques, des restaurants, je retrouve cette ambiance "village" qui existe ici et là à Vienne qui me plaît tant. Il y a une vraie vie de quartier, ça fourmille sur quelques rues, j'aime ce côté ville dans la ville. C'est dommage que ça soit un peu loin du centre historique et de mes quartiers de prédilection parce que je me verrais totalement habiter ici : gros crush pour le 18e arrondissement, cette partie tout du moins ! Le tour est néanmoins vite fait, je ne m'attarde pas trop car il n'y a rien de très culturel à découvrir dans les alentours immédiats.
Quand le temps le permet, j'essaye de varier les activités et d'intégrer une petite balade en périphérie de Vienne, que ce soit dans les vignes ou dans la forêt viennoise. Il y a également plein d'immenses parcs où l'on profite en plus d'une jolie vue sur la ville alors, pourquoi se priver ? Je trouve ces parenthèses au vert très agréables et c'est une bonne alternative aux week-ends à la campagne qui me sont difficiles à organiser faute de moyen de locomotion. Ça tombe bien, pas très loin il y a le Pötzleinsdorfer Schlosspark, un immense parc qui se poursuit en un petit bout de bois. La forêt viennoise n'est vraiment pas loin. Un quartier sympa, un café prometteur et un parc où aller marcher quelques heures : voici l'équation parfaite pour une bonne journée passée à l'extérieur ! Il a neigé il y a quelques jours, pendant une journée. Tout a fondu proche du centre alors j'étais surprise de découvrir encore autant de neige ici !Grosse surprise en flânant le long de l'allée centrale, que de trouver des statues au beau milieu de la pelouse ainsi que cette réplique d'un temple antique. Les statues proviennent en fait du Vienna Ringtheater qui brûla entièrement en 1881 : elles survécurent au drame sans beaucoup de dommage et furent acquises par le propriétaire du château auquel appartient le parc et installées ici, dans leur ordre d'origine. Elles illustrent chacune une tessiture différente et celle sur la photo représente un ténor. C'était la minute culturelle ! (Quant au temple, je ne m'en suis pas suffisamment approchée pour une éventuelle explication : ce sera pour une prochaine visite).Plus que le parc, j'avoue, c'était ce point de vue qui a motivé ma balade : ils ne manquent pas pour admirer Vienne depuis les hauteurs et cela fait toujours une belle récompense après l'effort ! Celui-ci s'appelle Michaelerwiese et se situe juste en bordure du parc. La vue sur Vienne n'est pas la plus extensive et on voit la ville sous un angle un peu tronqué (difficile d'apercevoir les bâtiments les plus emblématiques) mais le panorama n'en est pas moins agréable.
L'hiver, la nuit tombe vite : en ce moment, en février, aux alentours de 17 h. Déprimant. Surtout que les températures commencent à chuter bien avant et que je ne suis pas prête à déjà aller m'enfermer chez moi. Mais comme après cette balade au grand air j'ai aussi besoin de me réchauffer avant que l'on m'ampute des doigts, j'ai l'alternative parfaite : un musée. Ils ferment tôt à Vienne, sauf quelques rares nocturnes et encore pas partout. C'est donc le week-end que j'en profite le plus possible. Et ça tombe bien, en ce moment il y a plein d'expo qui m'intéressent, avec le cycle consacré au modernisme, une thématique qui me passionne.
À gauche, un meuble par Koloman Moser ; à droite, des affiches publicitaires servant de propagande au régime nazi.
En allant au MAK (le musée des arts appliqués, l'un de mes musées préférés, avec tout un département Vienne 1900) pour voir l'une d'entre elles, j'ai profité de mon billet pour explorer leur exposition temporaire : elles sont toujours très intéressantes et mélangent les arts. Celle-ci n'a pas dérogé à la règle : appelée "Esthétiques du changement", elle revient sur les 150 ans de l'université des Arts appliqués et expose ainsi des œuvres de personnes, professeurs et étudiants, célébrités et inconnus, ayant fréquenté l'université tout en retraçant son histoire et les moments marquants. On y trouve vraiment de tout : du mobilier, des peintures, des vêtements et même... un arbre (je vous laisse regarder la vidéo en début d'article si vous ne me croyez pas !).
L'exposition possède également quelques dessins de Klimt, alors qu'il était encore étudiant de l'université.
Et si le temps le permet, ou mon emploi du temps... je recommence le lendemain !
J'espère en tout cas que cet article aura réussi à vous montrer un autre visage de Vienne, plus proche du quotidien et peut-être moins touristique : en tout cas, c'est celui-ci qui me plaît le plus de découvrir jour après jour !Cet article participe au RDV #HistoiresExpatriées organisé par le blog L’occhio di Lucie.Retrouvez tous les autres articles "Ma nouvelle routine" sur le blog de Valérie.
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Semaine vs week-end
Mon assistant personnel.
Ma routine en semaine est ennuyeuse au possible. Comme je travaille depuis chez moi et que je ne croise pas beaucoup de monde, il n'y a pas vraiment matière à écrire dessus : je me lève le matin quand mon réveil sonne à 8 h (les bons jours) ou à 8 h 55 (la majorité du temps), j'entame ma journée à 9 h, je termine à 18 h et je passe la soirée chez moi. Une à deux fois par semaine, je me motive pour aller faire un peu de sport à la salle qui est à cinq minutes de chez moi. Une fois tous les 36 du mois j'ai quelque chose de prévu (souvent une expo à aller voir, plus rarement un film ou alors je me motive juste pour sortir dîner à l'extérieur) mais sinon je joue vraiment les marmottes. Avec une légère amélioration l'été, quand il fait encore jour en soirée. Passionnant, n'est-ce pas ?
Quand ma semaine de travail se termine le vendredi midi, j'ai l'impression que ma vraie vie commence et je déborde de choses à faire. Pas facile de tout caser en deux jours et demi, surtout quand la météo n'est pas de la partie, comme en hiver. Parler d'une de ces journées rentre complètement dans le thème à mon sens car j'ai adopté une nouvelle "routine" en déménageant. Avant, je ne sortais pas autant, j'habitais dans une plus petite ville avec moins d'opportunités, je n'aimais pas ma région ce qui ne me motivait pas à m'y promener... Pour être honnête, je me demande bien comment j'occupais mes week-ends en y repensant. Maintenant, voici une idée de ma journée type.
First thing first : petit déjeuner
J'essaye que ma journée ne commence pas trop tard. En pratique, cela dépend si j'ai fait une insomnie la veille et si je me suis couchée au petit matin... Je fais souvent en sorte d'avoir une réservation : ça m'évite les mauvaises surprises sur place et surtout de traîner au lit jusqu'à pas d'heure.
Les Viennois adorent le petit déjeuner, ça tombe bien, moi aussi : il y a énormément de cafés et de restaurants qui proposent brunchs et formules le matin, voire toute la journée. J'ai pris l'habitude, une fois par semaine (voire même les deux jours en été), de me faire ce petit plaisir et d'aller tester une nouvelle adresse... ou retourner chez mes chouchous. Le rituel est toujours le même : j'établis mon programme de visites ou d'activité, souvent la veille, je regarde si cela colle avec un nouveau quartier que je pourrais explorer et je cherche en fonction un coin sympa pour commencer la journée et me remplir l'estomac. Ce jour-là, j'ai atterri au café Himmelblau (18. Kutschkergasse 36) que j'ai dans ma liste d'endroits à tester depuis des mois.
Ils ont une large palette de petits déjeuners, dont une version vegan (celle que j'ai prise), mais relativement chère : aux alentours de 13 €, boisson comprise (bon point). Mais ce sont vraiment leurs pâtisseries qui m'ont conquises : les parts sont, encore une fois, assez chères (4,20 €) mais leurs gâteaux ont l'air tellement appétissants ! Cela a été une torture de choisir lequel prendre. Est-ce que je recommande pour le petit déj' ? Je n'ai pas été complètement convaincue, peut-être qu'en prenant en dehors d'une formule j'aurais été plus satisfaite. Par contre, pour un goûter, un café ou une part de gâteau à emporter, oui mille fois oui ! Leurs pâtisseries sont délicieuses et sortent plutôt de l'ordinaire (les parfums ne sont pas extravagants mais ça change des spécialités plus classiques).
Un peu d'exploration
Ce jour-là, venir petit-déjeuner ici faisait partie de mon plan pour explorer les alentours. Je connais mal ce coin qui est assez loin de chez moi (quarante minutes de transport), j'en profite donc pour prendre un peu de temps sur place : juste devant le café il y a notamment le Kutschkermarkt qui est un petit marché de quartier très agréable que j'ai découvert par recommandation de l'une des personnes que j'ai interviewée pour mon guide sur Vienne. J'aimerais vraiment avoir ce genre de marché au bas de chez moi, ça fait vraiment toute la différence !
Cette partie de la Währingerstrasse est un endroit très animé : il y a plein de boutiques, des restaurants, je retrouve cette ambiance "village" qui existe ici et là à Vienne qui me plaît tant. Il y a une vraie vie de quartier, ça fourmille sur quelques rues, j'aime ce côté ville dans la ville. C'est dommage que ça soit un peu loin du centre historique et de mes quartiers de prédilection parce que je me verrais totalement habiter ici : gros crush pour le 18e arrondissement, cette partie tout du moins ! Le tour est néanmoins vite fait, je ne m'attarde pas trop car il n'y a rien de très culturel à découvrir dans les alentours immédiats.
Balade au vert
Quand le temps le permet, j'essaye de varier les activités et d'intégrer une petite balade en périphérie de Vienne, que ce soit dans les vignes ou dans la forêt viennoise. Il y a également plein d'immenses parcs où l'on profite en plus d'une jolie vue sur la ville alors, pourquoi se priver ? Je trouve ces parenthèses au vert très agréables et c'est une bonne alternative aux week-ends à la campagne qui me sont difficiles à organiser faute de moyen de locomotion. Ça tombe bien, pas très loin il y a le Pötzleinsdorfer Schlosspark, un immense parc qui se poursuit en un petit bout de bois. La forêt viennoise n'est vraiment pas loin. Un quartier sympa, un café prometteur et un parc où aller marcher quelques heures : voici l'équation parfaite pour une bonne journée passée à l'extérieur ! Il a neigé il y a quelques jours, pendant une journée. Tout a fondu proche du centre alors j'étais surprise de découvrir encore autant de neige ici !Grosse surprise en flânant le long de l'allée centrale, que de trouver des statues au beau milieu de la pelouse ainsi que cette réplique d'un temple antique. Les statues proviennent en fait du Vienna Ringtheater qui brûla entièrement en 1881 : elles survécurent au drame sans beaucoup de dommage et furent acquises par le propriétaire du château auquel appartient le parc et installées ici, dans leur ordre d'origine. Elles illustrent chacune une tessiture différente et celle sur la photo représente un ténor. C'était la minute culturelle ! (Quant au temple, je ne m'en suis pas suffisamment approchée pour une éventuelle explication : ce sera pour une prochaine visite).Plus que le parc, j'avoue, c'était ce point de vue qui a motivé ma balade : ils ne manquent pas pour admirer Vienne depuis les hauteurs et cela fait toujours une belle récompense après l'effort ! Celui-ci s'appelle Michaelerwiese et se situe juste en bordure du parc. La vue sur Vienne n'est pas la plus extensive et on voit la ville sous un angle un peu tronqué (difficile d'apercevoir les bâtiments les plus emblématiques) mais le panorama n'en est pas moins agréable.
Se cultiver les neurones
L'hiver, la nuit tombe vite : en ce moment, en février, aux alentours de 17 h. Déprimant. Surtout que les températures commencent à chuter bien avant et que je ne suis pas prête à déjà aller m'enfermer chez moi. Mais comme après cette balade au grand air j'ai aussi besoin de me réchauffer avant que l'on m'ampute des doigts, j'ai l'alternative parfaite : un musée. Ils ferment tôt à Vienne, sauf quelques rares nocturnes et encore pas partout. C'est donc le week-end que j'en profite le plus possible. Et ça tombe bien, en ce moment il y a plein d'expo qui m'intéressent, avec le cycle consacré au modernisme, une thématique qui me passionne.
À gauche, un meuble par Koloman Moser ; à droite, des affiches publicitaires servant de propagande au régime nazi.
En allant au MAK (le musée des arts appliqués, l'un de mes musées préférés, avec tout un département Vienne 1900) pour voir l'une d'entre elles, j'ai profité de mon billet pour explorer leur exposition temporaire : elles sont toujours très intéressantes et mélangent les arts. Celle-ci n'a pas dérogé à la règle : appelée "Esthétiques du changement", elle revient sur les 150 ans de l'université des Arts appliqués et expose ainsi des œuvres de personnes, professeurs et étudiants, célébrités et inconnus, ayant fréquenté l'université tout en retraçant son histoire et les moments marquants. On y trouve vraiment de tout : du mobilier, des peintures, des vêtements et même... un arbre (je vous laisse regarder la vidéo en début d'article si vous ne me croyez pas !).
L'exposition possède également quelques dessins de Klimt, alors qu'il était encore étudiant de l'université.
Soirée plateau-série
Et puis à un moment il faut bien rentrer : en été je pourrais poursuivre avec un verre en terrasse pour profiter de la lumière tombante, notamment au bord du canal du Danube, mais l'hiver je ne rêve que d'une chose, rentrer chez moi me mettre au chaud sous mon plaid et passer la soirée tranquille, devant une série. Je traîne toujours un peu, profitant de la ville la nuit, rêvassant devant l'immense patinoire installée devant l'hôtel de ville ou admirant les éclairages nocturnes qui mettent si bien en valeur la ville. Sur le chemin, je m'arrête m'approvisionner en sushi, mon petit rituel hebdomadaire (les prix ici défient toute concurrence : aucune raison de se priver).Et si le temps le permet, ou mon emploi du temps... je recommence le lendemain !
J'espère en tout cas que cet article aura réussi à vous montrer un autre visage de Vienne, plus proche du quotidien et peut-être moins touristique : en tout cas, c'est celui-ci qui me plaît le plus de découvrir jour après jour !Cet article participe au RDV #HistoiresExpatriées organisé par le blog L’occhio di Lucie.Retrouvez tous les autres articles "Ma nouvelle routine" sur le blog de Valérie.
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