The playlist of my life

Publié le 25 juillet 2017 par Pomdepin @pom2pin

Ma copine Carrie a encore frappé, avec un tag musical. Elle me connait, elle sait que ça va être difficile. Je suis sûre qu’elle ne m’en voudra pas de ne mettre qu’un lien par rubrique. Et je vous rassure, je ne taggue perosnne, mais si ça vous dit, n’hésitez pas (j’ai failli mettre si ‘ça vous chante’, mais c’était un peu gros). Enfin bref, les musiques qui ont marqué ma vie, c’est parti. 


Mon enfance

C’est facile, le générique de Casimir! Et après celui de Goldorak et celui d’Albator. Ahah. Sinon, comme Carrie, j’ai été martyrisée par « je l’aime à mourir » de Cabrel. Déjà, c’était un local (du sud ouest je veux dire, on est assez chauvin) et j’étais clouée au lit avec les oreillons quand c’est sorti. Ma maman m’avait mis une radio dans ma chambre (énorme privilège) pour que je m’ennuie pas. Ça passait en continu. Je connais encore les paroles. Du coup, je ne peux pas écouter Cabrel sans me sentir malade.

Mes jeunes années

Aucune idée…je n’étais pas du tout musicale. Peut-être Balavoine, toujours parce qu’on l’entendait partout et c’était encore plus local que Cabrel. Mais bon, je mets ça sans conviction, pour participer. 

L’adolescence

On est une fille des eighties ou on ne l’est pas.  Je le suis. Jean-Jacques Goldman donc. C’est le moment où j’ai commencé à m’intéresser un chouïa (faut pas pousser non plus) à ce qui se faisait de l’autre côté de la Manche, sans comprendre les paroles. Ça a beaucoup perdu depuis que je parle anglais d’ailleurs. Comme je suis sympa, je ne reparlerai pas de Wham, mais c’est parce que je me réserve pour Noël. Ni de culture club. Ni de Depeche mode…je pourrais continuer longtemps, c’est désolant je suis un vrai cliché.  

Jeune adulte

Bon, je ne reparlerai pas de la BO de Bleu. Ça va vous lasser. Sinon, je pourrais mettre du Celine Dion. Si. Notre DJ irlandais a voulu nous faire plaisir pour notre mariage en passant le seul truc vaguement francophone qu’il avait sous la main. Mairichéri qui lui est très musical en fait encore des cauchemars 20 ans (moins un jour) après. Et oui, on s’est marié très jeunes. Marichéri a aussi entamé de faire mon éducation musicale. De À à Z. Comme Zappa. 

Ma vie de famille 

J’attendais depuis le début pour caser U2. J’aurais pu les mettre avant, je suis une fan inconditionnelle malgré les velléités moustico- messaiesques de Bono, mais c’est parfait pour cette rubrique. Ma vie de famille a débuté en Irlande, au national maternity hospital de Dublin où L’Ado est né (et GeekAdo. Et la moitié de la ville, mais ça n’est pas le sujet). Et donc, on voit et revoit l’angle de Holles Street (l’hôpital en question) dans la vidéo de the sweetest thing. L’Ado en est très content. Lui (et GeekAdo. Et la moitié de Dublin…) a son lieu de naissance dans une vidéo de U2. Ça pose.