Après un début d'année plutôt morose, tout s'est éclairci d'un coup (le retour des beaux jours et des températures plus clémentes a certainement joué), j'ai arrêté de broyer du noir et d'avoir envie de rien faire. Mais surtout, le rythme s'est beaucoup accéléré. Je finis ce mois d'avril complètement sur les rotules mais plutôt satisfaite de la tournure qu'il a prise. Le moral est enfin remonté, je suis bien occupée (trop peut-être, jamais contente faut croire !) et de nombreux changements se profilent à l'horizon. Sans oublier une annonce toute particulière que j'ai à vous faire...
Mais au-delà des horaires de dingue, il n'aura pas fallu plus de quelques minutes pour que je me rende compte que la formule ne me convient pas. Du tout. Mon niveau en compréhension écrite et grammaire est bien au-dessus de mes capacités de communication. Résultat, même en ayant déjà rejoint le niveau du dessus, je suis tiraillée entre "je perds mon temps niveau grammaire, je connais déjà tout ça, on peut passer à des trucs un peu plus compliqué s'il vous plaît ?" à "oh mon dieu non je comprends rien pitié qu'on ne m'interroge pas hein quoi attends comment on dit ça déjà"... Donc oui je suis inscrite à des cours d'allemand, oui j'irai certainement au bout du cycle mais clairement je doute que ça soit comme ça que je fasse des progrès là où j'en ai besoin : l'expression orale. Il faudrait que je couple ça avec ce que je repousse depuis des mois : un tandem ou des cours particuliers. Mais niveau temps libre ça devient compliqué. Bref, encore un dossier en suspens cette affaire.
Je termine (ou presque) la rubrique avec la grande annonce de ce mois d'avril. J'ai encore du mal à réaliser même en l'écrivant noir sur blanc. Mais avant, un peu de contexte. Les livres et moi, c'est une histoire d'amour qui dure depuis plus de 20 ans. J'adore lire, j'en ai fait mon métier et, désormais blogueuse voyage (à mes heures perdues), le Graal, comme pour tant d'autres, serait d'avoir la possibilité d'écrire un guide de voyage. Qui n'en a jamais rêvé, hein ? Parce qu'un blog c'est bien mais ça reste immatériel. Un livre, imprimé surtout, ça c'est concret et ça donne une certaine légitimité. En tout cas, c'est mon point de vue.
Je connaissais les éditions Nomades depuis des années et j'aimais bien leur concept de livres : les guides touristiques c'est pratique mais à force c'est un peu toujours les mêmes endroits qu'on y trouve. C'est rarement là qu'on y fera de belles découvertes (pour cela, il y a désormais les blogs, les réseaux sociaux...). Quand j'ai décidé de m'expatrier, je me suis dit en rigolant : "cool, si je reste un an ou deux je pourrai leur proposer d'écrire sur Vienne". Honnêtement, même si l'idée était très séduisante, je savais que cela ne resterait qu'à l'état de fantasme, de rêve... Parce qu'après tout, il n'y avait aucune chance que cela aboutisse. Trop d'inconnues étaient en jeu. Il faudrait que je sois là suffisamment longtemps pour avoir une certaine légitimité. D'ici là, d'autres personnes avec un background plus solide se présenteraient sûrement. Et puis tout simplement, ça se trouve Vienne n'intéresse personne. Sans compter que mon profil ne conviendrait peut-être pas. Ou que je n'oserais jamais me lancer. Ou l'apocalypse. Bref, mille et une raisons contre. Chez moi le verre n'est même pas à moitié vide, il n'a jamais l'occasion de recevoir la moindre goutte.
Et puis... Et puis les éditions Nomades ont lancé un appel sur Twitter concernant plusieurs villes (Vienne n'y figurait pas), j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai laissé un petit tweet comme une bouteille à la mer. Et puis j'ai retrouvé un de mes collègues à Paris et on en a reparlé. Et puis Mordue de Voyages m'a laissé un mot sur Twitter pour me dire qu'ils cherchaient quelqu'un pour Vienne (mais sur leur annonce sur Facebook). On en a discuté un peu, j'ai botté en touche en disant que de toute façon je n'oserais jamais, que ça ne faisait pas assez longtemps que j'habitais là. Et puis... Et puis j'ai fait quelque chose que je ne pensais jamais avoir le courage de faire. J'ai respiré un grand coup, j'ai débranché mon cerveau, j'ai pianoté fébrilement quelques minutes sur mon téléphone, sans réfléchir une seule seconde à ce que j'étais en train de faire. Réfléchir, c'était tout arrêté. J'ai envoyé un mail. Et quelques jours plus tard, à mon abasourdissement le plus complet, j'ai eu un entretien via Skype pour en discuter. Et maintenant voilà. J'ai le contrat sous les yeux, sous mes doigts, il y a mon nom dessus. Je n'ai plus qu'à le signer et le renvoyer. Le livre est prévu pour le début d'année prochaine. J'ai six mois pour l'écrire.
Je vais écrire un guide. Sur Vienne. Pour les éditions Nomades. Pincez-moi je rêve, ce n'est pas à moi que ça arrive.
Et pourtant si. Comme quoi. Tout arrive. Même à ceux qui pensent que les choses bien, les chouettes opportunités, les projets de dingue, la réalisation de ses rêves les plus fous, ça n'arrive qu'aux autres. Et surtout pas à soi, non surtout pas. Il suffisait de prendre un tout petit risque de rien du tout. J'ai osé, ça a payé. J'ai eu beaucoup de chance.
Mais je suis aussi morte de trouille, je me pose mille questions, j'ai peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas y arriver, que ce soit nul, que je me sois embarquée dans un truc trop gros pour moi...
Mais en attendant, peur ou pas peur, j'ai un guide à écrire !
(Si cela vous intéresse, peut-être que je pourrais écrire un ou deux articles sur les coulisses, je sais que j'aime bien les lire personnellement mais je suis toujours un peu frustrée car ça reste toujours sur des généralités... Peut-être que ce sera l'occasion d'écrire l'article que j'aurais aimé, et aimerais toujours, lire, dans l'optique de grappiller des conseils ?)
Mais les choses vont changer, je pense que vous l'aurez compris de vous-même en lisant tout mon précédent blabla. Je n'ai réussi à tenir le rythme vaille que vaille en fin de mois uniquement parce que j'avais déjà des articles quasiment terminés, ou dont j'ai avancé la publication histoire d'avoir quelque chose. Avec trois soirées en moins par semaine, un guide à préparer, je n'aurais plus autant de temps à consacrer au blog. Il faut faire des choix. Et comme vraiment je ne sais pas, et n'ai pas envie, de publier des articles au rabais, des machins de quelques lignes juste histoire de publier, forcément la cadence va s'en retrouver diminuée. Il n'y aura plus deux articles par semaine, sauf si vraiment je me trouve une inspiration insoupçonnée certains week-ends. Je vais essayer de continuer à en poster un par semaine, car quand même, j'ai des choses à partager. Mais je ne me mets pas la pression. Pour les prochains mois, j'ai d'autres priorités. Et je continuerai toujours de bouger, de voyager, dans Vienne, en Autriche ou à l'étranger. Si cela vous intéresse, vous pouvez toujours me suivre sur les réseaux sociaux (Twitter pour le quotidien et l'instantané ; Facebook pour le détail de mes virées ; Instagram pour les jolies images – du moins j'essaye), je continuerai d'y être active quotidiennement.
Voter à l'étranger
Commençons par un petit jalon dans ma vie d'expatriée : avril a marqué mon premier vote depuis l'étranger. C'était aussi la première fois que j'allais au Lycée français. J'en ai profité pour me promener un peu dans le 9e arrondissement, le quartier français, où je ne vais jamais (pas par snobisme mais parce que ce n'est pas de mon côté de Vienne). Je remettrai ça dimanche prochain et aux législatives : c'est un prétexte comme un autre pour découvrir un autre quartier, et je ne demande que ça !Coworking
Passons aux choses sérieuses et aux vrais changements. Je n'ai jamais caché que le travail à domicile n'était pas fait pour moi. Les jours avec des deadlines importantes ou des dossiers à terminer, je n'ai aucun mal à être concentrée et productive. Mais le reste du temps, quand je ne suis pas sous pression, c'est la débandade : mon travail est toujours fait en temps et en heure, j'y mets un point d'honneur (encore heureux sérieux...), mais depuis toujours, je ne suis efficace que dans l'urgence. Début avril, j'ai donc pris la résolution d'aller travailler deux matinées par semaine dans un espace de coworking, à deux pas de chez moi. Fini la flemme qui me pousse régulièrement à bosser en pyjama, bienvenue un nouveau rythme de travail qui me sort de chez moi et réintroduit une espèce de routine de bureau. Pour être honnête, j'ai tenu deux semaines ; je n'y ai donc pas remis les pieds depuis le milieu du mois mais j'ai une bonne excuse, j'vous jure ! Je n'y ai pas trouvé le cadre parfait pour être 100 % efficace comme je l'étais avant mais c'est en progression. Et mettre le nez dehors plus régulièrement me fait aussi du bien. Alors, pourquoi j'ai arrêté (provisoirement) ?Début des cours d'allemand
Le mois dernier, ma grande résolution était de m'inscrire à des cours d'allemand. Eh bien voilà, avec quatre mois de retard sur mon planning, c'est enfin fait. Et je dois dire que cela a complètement chamboulé ma vie. Adieu soirées et rythme tranquilles, bonjour journées à mille à l'heure et sans fin. Trois fois par semaine, j'enchaîne donc ma journée de travail avec trois heures d'allemand. Soit neuf heures par semaine. Rien que l'écrire me fatigue. Comme l'école où je suis inscrite n'est pas toute proche, je vais travailler l'après-midi à la bibliothèque sur place ; ça veut dire que j'ai une demi-heure le midi pour manger avant de courir attraper mon tram et être opérationnelle à 14 h pile et ensuite à 18 h enchaîner avec mes cours. Et le soir, je ne suis pas chez moi avant 21 h 30... Et ça, jusqu'à la fin du mois de juin. Inutile de dire que dans ces conditions, ça a été compliqué de combiner ça avec des matinées à l'espace coworking.... Mais je vais retrouver mon rythme maintenant que mes horaires de cours sont stabilisés. Les semaines s'annoncent très denses, j'espère suivre un minimum la cadence.Mais au-delà des horaires de dingue, il n'aura pas fallu plus de quelques minutes pour que je me rende compte que la formule ne me convient pas. Du tout. Mon niveau en compréhension écrite et grammaire est bien au-dessus de mes capacités de communication. Résultat, même en ayant déjà rejoint le niveau du dessus, je suis tiraillée entre "je perds mon temps niveau grammaire, je connais déjà tout ça, on peut passer à des trucs un peu plus compliqué s'il vous plaît ?" à "oh mon dieu non je comprends rien pitié qu'on ne m'interroge pas hein quoi attends comment on dit ça déjà"... Donc oui je suis inscrite à des cours d'allemand, oui j'irai certainement au bout du cycle mais clairement je doute que ça soit comme ça que je fasse des progrès là où j'en ai besoin : l'expression orale. Il faudrait que je couple ça avec ce que je repousse depuis des mois : un tandem ou des cours particuliers. Mais niveau temps libre ça devient compliqué. Bref, encore un dossier en suspens cette affaire.
Voyage, voyage
Je n'ai pas trop bougé loin ce mois-ci, si ce n'est à Riga le week-end dernier, un rêve enfin devenu réalité. Cela faisait tellement longtemps que je voulais y aller, j'avais tellement d'attente sur ce voyage que je l'avoue, j'en suis revenue... déçue. Non pas déçue par la ville en elle-même, mais surtout déçue parce que, à aucun moment, je n'ai senti cette étincelle qui rend un voyage inoubliable. Je ne sais pas si c'était la fatigue, le froid, le stress... J'espère que d'ici quelques jours j'aurai digéré le séjour et serai mieux à même de l'apprécier. En attendant, je vous en parlerai évidemment plus en détail d'ici quelque temps.En avril ma maman est également venue me rendre visite pour Pâques. Ça a été l'occasion de jouer à nouveau les guides et surtout de pouvoir tester tout plein de nouveaux endroits que je gardais sous le coude (ou simplement découverts sur le moment) pour l'occasion. Nous n'avons pas été très gâtées par la météo mais ça ne nous a pas empêchées de vadrouiller pendant trois jours (au terme desquels j'ai attrapé une bonne crève, quand je vous dis que ce mois d'avril n'a pas été de tout repos !).J'ai également aussi continué mes explorations dans Vienne et en Autriche, me rendant notamment au château Hof, afin de découvrir l'exposition consacrée à Marie-Thérèse. Grosse déception : tous les panneaux étaient en allemand ou en slovaque. Mais c'est là que j'ai pu mesurer pour la première fois mes progrès en allemand : sans aller jusqu'à dire que j'ai tout compris, j'ai réussi à déchiffrer quelques informations par-ci, par-là. Tout n'était pas complètement perdu. Et les jardins du château étaient vraiment beaux !Le contrat
Je termine (ou presque) la rubrique avec la grande annonce de ce mois d'avril. J'ai encore du mal à réaliser même en l'écrivant noir sur blanc. Mais avant, un peu de contexte. Les livres et moi, c'est une histoire d'amour qui dure depuis plus de 20 ans. J'adore lire, j'en ai fait mon métier et, désormais blogueuse voyage (à mes heures perdues), le Graal, comme pour tant d'autres, serait d'avoir la possibilité d'écrire un guide de voyage. Qui n'en a jamais rêvé, hein ? Parce qu'un blog c'est bien mais ça reste immatériel. Un livre, imprimé surtout, ça c'est concret et ça donne une certaine légitimité. En tout cas, c'est mon point de vue.
Je connaissais les éditions Nomades depuis des années et j'aimais bien leur concept de livres : les guides touristiques c'est pratique mais à force c'est un peu toujours les mêmes endroits qu'on y trouve. C'est rarement là qu'on y fera de belles découvertes (pour cela, il y a désormais les blogs, les réseaux sociaux...). Quand j'ai décidé de m'expatrier, je me suis dit en rigolant : "cool, si je reste un an ou deux je pourrai leur proposer d'écrire sur Vienne". Honnêtement, même si l'idée était très séduisante, je savais que cela ne resterait qu'à l'état de fantasme, de rêve... Parce qu'après tout, il n'y avait aucune chance que cela aboutisse. Trop d'inconnues étaient en jeu. Il faudrait que je sois là suffisamment longtemps pour avoir une certaine légitimité. D'ici là, d'autres personnes avec un background plus solide se présenteraient sûrement. Et puis tout simplement, ça se trouve Vienne n'intéresse personne. Sans compter que mon profil ne conviendrait peut-être pas. Ou que je n'oserais jamais me lancer. Ou l'apocalypse. Bref, mille et une raisons contre. Chez moi le verre n'est même pas à moitié vide, il n'a jamais l'occasion de recevoir la moindre goutte.
Et puis... Et puis les éditions Nomades ont lancé un appel sur Twitter concernant plusieurs villes (Vienne n'y figurait pas), j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai laissé un petit tweet comme une bouteille à la mer. Et puis j'ai retrouvé un de mes collègues à Paris et on en a reparlé. Et puis Mordue de Voyages m'a laissé un mot sur Twitter pour me dire qu'ils cherchaient quelqu'un pour Vienne (mais sur leur annonce sur Facebook). On en a discuté un peu, j'ai botté en touche en disant que de toute façon je n'oserais jamais, que ça ne faisait pas assez longtemps que j'habitais là. Et puis... Et puis j'ai fait quelque chose que je ne pensais jamais avoir le courage de faire. J'ai respiré un grand coup, j'ai débranché mon cerveau, j'ai pianoté fébrilement quelques minutes sur mon téléphone, sans réfléchir une seule seconde à ce que j'étais en train de faire. Réfléchir, c'était tout arrêté. J'ai envoyé un mail. Et quelques jours plus tard, à mon abasourdissement le plus complet, j'ai eu un entretien via Skype pour en discuter. Et maintenant voilà. J'ai le contrat sous les yeux, sous mes doigts, il y a mon nom dessus. Je n'ai plus qu'à le signer et le renvoyer. Le livre est prévu pour le début d'année prochaine. J'ai six mois pour l'écrire.
Je vais écrire un guide. Sur Vienne. Pour les éditions Nomades. Pincez-moi je rêve, ce n'est pas à moi que ça arrive.
Et pourtant si. Comme quoi. Tout arrive. Même à ceux qui pensent que les choses bien, les chouettes opportunités, les projets de dingue, la réalisation de ses rêves les plus fous, ça n'arrive qu'aux autres. Et surtout pas à soi, non surtout pas. Il suffisait de prendre un tout petit risque de rien du tout. J'ai osé, ça a payé. J'ai eu beaucoup de chance.
Mais je suis aussi morte de trouille, je me pose mille questions, j'ai peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas y arriver, que ce soit nul, que je me sois embarquée dans un truc trop gros pour moi...
Mais en attendant, peur ou pas peur, j'ai un guide à écrire !
(Si cela vous intéresse, peut-être que je pourrais écrire un ou deux articles sur les coulisses, je sais que j'aime bien les lire personnellement mais je suis toujours un peu frustrée car ça reste toujours sur des généralités... Peut-être que ce sera l'occasion d'écrire l'article que j'aurais aimé, et aimerais toujours, lire, dans l'optique de grappiller des conseils ?)
Ce mois-ci sur le blog... et dans le futur
J'ai encore été pas mal active sur le blog ce mois-ci : je vous ai raconté mon voyage en Slovénie en long, en large et en travers, avec mon excursion à Bled et à Bohinj, mes bonnes adresses à Ljubljana ainsi que mon city-guide de la capitale slovène ; à Vienne je vous ai emmenés visiter la villa Hermès, qui a rouvert pour la saison ; j'ai aussi découvert cette année les marchés de Pâques, l'occasion de partager cette tradition autrichienne avec vous ; je vous ai également dévoilé mes bonnes adresses de cafés pour changer des endroits traditionnels ; et enfin, je vous ai dressé la liste de quelques destinations accessibles en moins de deux heures depuis Vienne, idéales pour une escapade à la journée.Mais les choses vont changer, je pense que vous l'aurez compris de vous-même en lisant tout mon précédent blabla. Je n'ai réussi à tenir le rythme vaille que vaille en fin de mois uniquement parce que j'avais déjà des articles quasiment terminés, ou dont j'ai avancé la publication histoire d'avoir quelque chose. Avec trois soirées en moins par semaine, un guide à préparer, je n'aurais plus autant de temps à consacrer au blog. Il faut faire des choix. Et comme vraiment je ne sais pas, et n'ai pas envie, de publier des articles au rabais, des machins de quelques lignes juste histoire de publier, forcément la cadence va s'en retrouver diminuée. Il n'y aura plus deux articles par semaine, sauf si vraiment je me trouve une inspiration insoupçonnée certains week-ends. Je vais essayer de continuer à en poster un par semaine, car quand même, j'ai des choses à partager. Mais je ne me mets pas la pression. Pour les prochains mois, j'ai d'autres priorités. Et je continuerai toujours de bouger, de voyager, dans Vienne, en Autriche ou à l'étranger. Si cela vous intéresse, vous pouvez toujours me suivre sur les réseaux sociaux (Twitter pour le quotidien et l'instantané ; Facebook pour le détail de mes virées ; Instagram pour les jolies images – du moins j'essaye), je continuerai d'y être active quotidiennement.