La Grande Galerie de l’Evolution

Publié le 01 avril 2017 par Cecile @FamilTrotteuse
Nous voici arrivés au 1er avril, il est l'heure de nous retrouver autour de notreRendez-vousinitié parSylviedu blogL'histoire de la Grande Galerie de l'évolution trouve son origine en 1626 avec la création du jardin royal des plantes médicinales transformé en muséum d'histoire naturelle après la Révolution française. Les collections d'histoire naturelle uniques au monde progressivement constitué sont présentées d'abord au cabinet d'histoire naturelle puis dans des galeries thématiques. La Galerie de zoologie sera quant à elle ouverte en 1889 et fermée en 1965. La mobilisation du muséum aboutira en 1994 à sa rénovation en Grande Galerie de l'Évolution. . Ce mois-ci c'est Sabrina du Qui nous a proposé un thème pas facile facile : " Virée nocturne ".

Oui pas facile de trouver l'inspiration, car nos virées nocturnes sont assez limitées. Non pas que nous vivions cloîtrés, mais il est vrai qu'en vacances nous sommes plutôt soirée tranquille au coin du feu ou du barbecue que marchés nocturnes bondés. Bon, voilà, j'avoue chez les Trotteurs, on est plutôt pantouflard que fêtard !! J'ai donc bien cru que je ne publierais rien pour ce mois ? Quand en feuilletant ma photothèque Google, je suis tombée sur une sortie faite avec Mini en octobre dernier à la Grande Galerie de l'Évolution à Paris. Certes, ce n'était pas en pleine nuit, mais vu qu'à cette époque de l'année, à Paris il fait nuit à 16h, je suis finalement dans les clous !! Et puis, à l'intérieur, c'est très sombre vous allez voir.

La Grande Galerie de l'Evolution se situe dans le Jardin des Plantes à Paris. Je ne me souviens plus à quand remontait ma dernière visite de ce lieu, un certain temps en tout cas. Mini connaissait déjà pour y être allée avec sa Mamie mais était très heureuse d'y retourner et de me servir de guide. Pour avoir toutes les infos et préparer votre visite c'est par ICI

Visite de La Grande Galerie de L'Evolution :

Depuis la Grande Galerie innove et se modernise régulièrement. À l'heure des nouvelles technologies, cette dernière n'est pas en reste. Tablettes tactiles ou application mobile, tout est mis en œuvre pour que votre visite soit la plus ludique possible.

Une fois nos billets en pochent, nous accédons au vestiaire gratuit (c'est fort pratique en cette saison de pouvoir laisser dans un casier les doudounes et les sacs à dos) et nous démarrons notre visite au sous-sol avec l'expo temporaire sur les ours. Pour le coup, il fait bien sombre, mes photos ne sont pas extra.

Nous continuons ensuite au rez-de-chaussée avec la découverte du milieu marin puis au premier étage. Ici, la grande procession de la savane est assez impressionnante. On s'y croirait vraiment avec les bruits d'animaux en fond sonore. La grande verrière de la Galerie change de couleur passant du rouge au bleu, c'est vraiment très beau. Lorsqu'elle vire au rouge c'est l'orage qui gronde...tous aux abris !!

Après 3 heures de visite que nous n'avons pas vu passer, il est l'heure de rentrer. Si un jour vous venez à Paris avec ou sans enfants, c'est un lieu à ne surtout pas manquer Comme chaque mois, vous le savez un guide touristique est à gagner. Ce mois ci Galimard vous propose de remporter le Geoguide de la Bretagne Sud. Pour cela rien de plus simple : Tirage au sort vers la mi-avril

Nous poursuivons avec la Galerie des enfants. Un espace pour les 6-12 ans ludique et coloré pour découvrir et sensibiliser les plus jeunes. Mini n'y était jamais allée et elle a beaucoup apprécié (moi aussi d'ailleurs). Pour avoir plus d'infos sur cet espace, je vous renvoie sur la .

C'est ensuite le temps de prendre un bon goûter à la cafétéria du premier étage entre les bruits de la savane, l'orage et les chants des oiseaux, c'est fort sympathique.

Nous terminons notre visite au deuxième étage. À voir absolument, l'espace dédié aux espèces menacées ou déjà éteintes, très instructif pour les enfants afin de les sensibiliser au fragile équilibre entre l'homme et l'animal. Nous y sommes restées un bon moment, car Mini était vraiment captivée.

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