« La Thaïlande, c’est beau, ma… C’est pas facile tous les jours ! ». Un ami et voisin d’origine Italienne et francophile de son état aimait répéter cette sorte de dicton et lorsque les rouages de la vie quotidienne en Isan ont tendance à gripper, j’aime bien me rappeler cette petite phrase. En effet vous aurez remarqué, je veux bien-sur parler de ceux qui suivent régulièrement ce blog que depuis plus de trois mois, pas un article, quant à la Gazette de Ban Pangkhan, la dernière fut publiée il y a plus de 5 mois, nous étions encore en France lors de notre séjour annuelle hexagonale !
Suis-je tombé malade ? Heu… ça c’est plutôt un état permanent, je parle évidemment de mon état mental, mais pour ceux qui me connaissent, ce n’est pas un scoop, pour les autres, tout ceci est à prendre au second degré voir au quarante-troisième échelon sur l’échelle du concombre masqué !
Suis-je rentré au temple pour la période du Phensa, c’est-à-dire le Carême Bouddhique, période qui va se terminer dans quelques jours ? Heu… Je suis loin d’être une grenouille de bénitier alors de là à porter la toge couleur safran, il faudra encore quelques moussons pour que j’endosse « l’uniforme » et puis autour des temples en Isan, ce sont bien là les endroits où Le Wifi est le plus efficace, ce qui ne m’aurait pas alors privé de jouer du clavier !
Ai-je été enlevé par un gang cagoulé de riziculteurs afin qu’il demande une rançon pour tenter de se désendetter ? Heu… Pas vraiment, à part le traquenard à l’épicerie du coin pour un apéro fulgurant de fin de chantier autour d’une boutanche de Lao Khao, rien de nouveau au nord-est du pays !
Mon renouvellement de la prolongation de mon visa d’une année aurait été refusé et cela aurait précipité mon départ ? Pas du tout ! Prolonger son visa est toujours un rendez-vous annuel où une tonne de papiers officiels vous est demandé, jamais à l’abri de changement des règles et des documents à fournir, cependant, cette année rien à changé et les officiers du bureau de l’immigration m’ont tamponné une fois de plus mon passeport validant mon droit de rester sur le sol du Royaume pour une année supplémentaire. Si, une chose à changé, le lieu pour les ressortissants étrangers habitant dans la province de Roi Et, désormais, nous ne devrons plus nous rendre à Amnat Charoen pour ces formalités, un bureau d’immigration à enfin ouvert ses portes à Roi Et City. Il se situe actuellement derrière le commissariat central de la ville au sein de l'immeuble OTOP - GPS coordinates; 16.056052, 103.654811 Roi Et Immigration Office OTOP Building Prampracharach Road Nai Mueang Roi Et 4500 - avant qu’il ne déménage prochainement dans un bâtiment qui lui sera propre derrière la mairie non loin de l’hôpital publique. Il est désormais habilité à faire toutes les démarches administratives qu’un étranger se doit de faire sur le sol Thaïlandais s’il veut y séjourner pour un petit moment (Bulletin des 90 jours TM 47, re-entry visa, prolongation de visa, attestation de lieu de résidence etc.).
Pas de publications depuis belle lurette ! Les pluies de la mousson m’auraient submergé ou auraient endommagé mon ordinateur pour que je ne puisse plus tapoter sur mon clavier ? Pas du tout, la mousson a débuté comme chaque année, je dirais même que cette année, commençant dans le courant du mois de juin, ses pluies se sont montrées régulières et constantes donnant à la nature et aux cultures tout ce qu’elles attendaient laissant loin derrière elles les chaleurs étouffantes et hors-normes que nous avons connues dès le mois de mars et ceci jusqu’à notre retour de France durant tout le mois de mai. Une sécheresse annoncée vite oubliée, de futures récoltes prometteuses même si ses vingt derniers jours, les pluies sont diluviennes, rivières, bassins et lacs débordent, le bitume des routes se gorge d’eau et se craquèle allègrement, mais septembre reste le mois où les précipitations restent les plus violentes et abondantes, telles un dernier round avant la saison sèche qui va s’éterniser durant tout l’hiver voire jusqu’aux premiers jours de Songkran !
De la difficulté de circuler certains jours...
Pas très loin de Ban Pangkhan, la route d'accès à Ban Nam Tiang Na Riang longeant la Mea Nam Chi.
Alors... Que s’est-il passé ?
J’ai tout d’abord, enfin… Sur les conseils du Vénérable du temple, changé d’opérateur internet. Cela a pris un peu de temps, une fâcherie annoncée avec "Mister Piak", ce n’était pas le première mais ce serait donc la dernière et depuis que l’antenne relais internet se trouve au temple et que ma box s’y connecte, la régularité et la puissance de haut débit fonctionne à plein tube ! Désormais, j'aurais à faire avec "Mister Kai", sérieux et appliqué... À suivre...
Si on ajoute avec cette question de timing, l’hébergeur de mon blog qui s’est fait racheter par une grosse boite de la toile et les « couacs » associés qui se sont enchaînés à intervalles réguliers, on y est presque pour expliquer le pourquoi du comment de cette absence prolongée…
Mais, mais… Surtout ce fut « les grands travaux » qui m’ont mis dedans ! On avait prévu de rendre à notre vieille demeure un regain de jeunesse et d‘étanchéité. Il fallait trouver l’équipe d’artisans qui s’occuperait de tout ça ! Ce ne fut pas facile de dénicher des gars soigneux, efficaces, connaissant leur métier sur le bout des doigts et surtout bosseurs. À quelques villages de Ban Pangkhan, à Ban Nung, on a trouvé « The Team », ce qui a entrainé des tensions avec certaines personnes du village - les "team" du village - et de la famille particulièrement. Oy a géré et on dirait bien qu’après quelques engueulades dantesques à travers notre jardin et ruelles de Pangkhan, l’affaire se soit tassée. Donc, cette équipe, 10 ouvriers sous les ordres d’un type en Or était très demandée. Nous avons été plus ou moins mis en liste d’attente. Ces garçons venant au fur à mesure de leurs chantiers, changer tout d’abord les toitures, vérifiant les supports, c’est-à-dire charpentes poutres et planchers sans oublier le traitement des pilotis contre nos « amies » les termites, celles-ci ayant mis le grappin sur notre maison afin d’y festoyer allègrement. « Mister Houm et sa team » ont déployé tout leur ingéniosité pour remplacer et traiter tout cela sans oublier que nous (enfin surtout « Môman », pas « Môa » bien-sûr) en avons rajouté une couche (du boulot, je m’entends) au fur et mesure du chantier : construction d’un sala dans notre jardin, aménagement de la cuisine extérieure, rehaussement des charpentes là où la pente existante faisait qu’à chaque pluie diluvienne l’eau s’infiltrait dans les faux-plafonds, aménagement d’une deuxième chambre à l’étage. Pour conclure, beaucoup de travail accompli tranche par tranche avec des délais entre chacune d’entre elles, négociations des devis, achats de matériaux et tout ceci en restant dans notre maison. Nous avons campés, déménagés à de nombreuses reprises au sein de notre propre demeure, entre poussières abondantes et déplacement du mobilier et bien évidemment, mise à l’abri de tout le matériel électrique et électronique expliquant grosso modo ce long silence radio ! Je ferai un article, photos à l’appui, sur le grand chantier qui n’est pas terminé ; l’électricité (filières, luminaires désormais LED, interrupteurs et prises, fans plafonniers) est terminée depuis peu, reste les faux-plafonds lambrissés style « Wat traditionnel », une autre équipe devrait bientôt faire son apparition, et nous conclurons par les peintures et traitements des bois et de la ferronnerie que nous avons décidés de faire par nous même, les pluies de ces derniers jours nous empêchant de lancer « notre » chantier.
Petit aperçu du chantier...
Après ces quelques explications sur ce mutisme, nous allons remonter le temps et revenir à nos derniers jours passés en France jusqu’aux derniers rebondissements de la vie tranquille des rizières et l’actualité marquante (totalement subjective) qui ont égrainées ces cinq derniers mois.
Nous avons donc passé notre dernière semaine sur le territoire Français à Paris ! Paris, Paris, dans l'esprit nous y allions mais nous sommes allés chez ma fille d'origine indienne et sa famille dans le sud de la banlieue parisienne, à Dourdan dans l'Essonne. Petit bourgade tranquille à l'architecture moyenâgeuse, ses halles, un vrai reportage du Pierre Bonte dans le Petit Rapporteur de Jacques Martin ! J'ai un souvenir de mon enfance où nous allions visiter un ami de mon père habitant Paris et dès le week-end annoncé faisait route vers sa maison de campagne, peut-être dans l'Essonne, je ne m'en rappelle plus vraiment, mais Dourdan y ressemble étrangement, forêt domaniale, petit cours d'eau, désormais une autoroute, un RER, reliant cette petit ville à Paris en moins de une heure en à fait une cité dortoir plutôt chic.
Nous avons d'ailleurs profiter de cet accès facile pour nous rendre à Paris, devinez où ? Pas très loin de la Gare du Nord-Porte de la Chapelle dans le quartier Indien, rien de plus normal ? Restos où le plaisir est de manger à pleine main de délicieux Paper masala dosa (la main droite, c'est mieux... N'est-ce pas Tangmoo ? Mais non, ce n'est pas grave !) et magnifique curry incendiaire; boutiques aux devantures dont les couleurs criardes et les dieux multiples perchés sur des sacs de riz Basmati de 50 kilos vous regardaient, cela ne laissait aucun doute de l'endroit de Paris où nous étions; odeurs d'encens, musique de Bollywood, femmes en sari faisant leurs emplettes et hommes regroupés à chaque coin de rue mâchant le bétel, nous étions bien entre Madras, Bombay et Kanyakumari. On en a profité pour tout de même nous rendre non loin de l'Ambassade Thaïlandaise sur le parvis du Trocadéro voir la Tour Eiffel à défaut d'y grimper, les temps d'attente aux ascenseurs décourageant tout le monde. Oy fut de tout même très heureuse, elle put renouveler à satiété son stock de Tour Eiffel porte-clef et miniatures de toutes tailles vendus par une horde d'Africains ne lâchant pas facilement le morceau. Nous avons tout de même fait un petit tour à la Cité des Sciences et sa Géode pour visionner un film en 3D, et visiter des expos que je n'ai pas trouvées très bien faites, heureusement, Solar Impulse était en exposition et rien que pour cela, ça en valait la peine. Voici d'ailleurs quelques photos de ce court séjour Parisien...
Le premier mai nous repartions pour Bangkok. Comme à notre départ en France, une chaleur intense nous attendait. Nous traversions une partie du pays le plus vite possible pour rejoindre notre Ban où plus 40°C nous fit suffoquer. Il fallait tenir bon avant les premières pluies emmenées par la Mousson. Le manque d'eau était flagrant, la campagne s'était recouverte d'une teinte jaunâtre et le ciel désespérément bleu profond nous disait simplement qu'il fallait être patient. Pourtant les bananiers plantés cet hiver avaient monstrueusement poussés, la maison était en ordre... Nous retrouvions notre chien Doc' qui avait survécu à notre absence (je dis ça car depuis le temps, nombreux de nos chiens furent écrabouillés, empoisonnés voire tout simplement disparurent sans laisser de trace). Doc est un dur à cuire, petit mais costaud, un beau Jack Russel, rapide, chassant à tout bout de champ, sympa mais que nous avons avons failli perdre aussitôt notre retour. En effet, notre voisin l'épicier, adepte obsessionnel de la débroussailleuse, n'aurait pas vu Doc', à l'entendre, et lui aurait malencontreusement taillader un morceau de son cuissot gauche et une griffe de sa patte avant droite alors qu'il coupait l'herbe des bas-cotés de la rue passant devant chez nous. Le con - avec mon ancien fournisseur d'Internet, ça en fait deux, inscrits dans sur la liste noire ! Depuis, nous allons "magasiner" ailleurs au village d'autant plus que sa boutique est devenue une morne plaine de la consommation...
Doc' s'en est donc sorti, il en a mis du temps et a pu profiter, restant blotti dans la maison, d'un nouveau locataire, un beau tookey (un gecko de 20 centimètres), qui nous fait le bonheur de chanter chaque nuit et nous aide dans l'éradication des moustiques en cette saison des pluies... À ce jour, Doc' n' a toujours pas réussi à le chopper et pourtant ce n'est pas le mal qu'il se donne pour ça qui me fera vous dire le contraire.
C'est bien là, que nous sommes revenus :
Pour les amoureux des cartes, la bibliothèque de l'université du Texas partage les cartes interactive d'état-major de l'armée US datant de 1954. En présentation photographique, Ban Pangkhan et ses environs (Province de Roi Et à l'époque en bordure à l'est de la grande province de Ubon Ratchathani). Le site vers la carte "Indochina & Thailand"
Tangmoo allait pouvoir reprendre l'école en Po4 l'équivalent du CE2 - CM1 (en Thaïlande, il y a six années de classe primaire), année où le scoutisme fait son apparition jusqu'en des uniformes (uniformes du jeudi).
De son coté Tan qui avait fêtée ses 21 ans était en vacances studieuses à Ubon Ratchathani afin de se perfectionner pour son passage réussi en troisième année universitaire. La dernière année avant son master...
Au village, les fêtes et cérémonies s'enchaînaient comme chaque année, telle la cérémonie des offrandes à Nya Pou, l'esprit bienveillant du village qui eu lieu le 11 mai cette année, les fusées des Boun Bang Fai pouvaient pourfendre le ciel d'Isan avant le début du Phensa - Khao Phensa, le carême Bouddhique qui cette année s'est déroulé très tardivement le 20 juillet.
Si vous désirez plus de détails sur ces cérémonies en tapant un de ces mots clés dans le moteur de recherche du blog dans la colonne de gauche vous aurez accès à tous les articles que j'ai précédemment écrits à ce propos.
La vie de village, paisible, bucolique, loin des odeurs et des bruits des villes s'offrait à nous, certes au milieu des travaux mais nous pouvions toujours sillonner les rizières, qui sous les premières pluies de la mousson, pouvait commencer à recouvrir la campagne d'un vert dont je ne me lasserai jamais...
À choisir ?
Avant que notre maison devienne sans dessus dessous, le 2 juillet nous fêtions les 10 ans de Tangmoo. Petit bouffe entre amis, en famille, des cadeaux (certains qui ont plus de un mois pour arriver de France, je parle d'un certain maillot jaune, je ne vous parle même pas de l'équipe de branquignoles qui gère la boutique en ligne du FCNA ...)
Petit florilège de ce jour de fête...
Évolution de mon p'tit louk krung (métis) préféré : 2006 - 2016.
Revue de presse.
Avant de clore cette gazette de Ban Pangkhan, je vais vous "Ma" revue de presse. Je vous propose une capture d'écran que vous pouvez agrandir en cliquant dessus et un lien vers la source et l'article complet. Elle sera principalement centrée sur le referendum qui eut lieu le 7 aout, à savoir si les Thaïlandais étaient pour ou contre (textuellement, il fallait qu'il réponde par Mai Chop ou Chop - J'aime -Je n'aime pas). Une campagne pour le pour ou contre qui n'a pas eu lieu puisqu'elle était interdite tout simplement avec le risque de 10 ans de prison si on dérogeait à la règle, oups ! Le "J'aime" a gagné, contre toute attente et sondage vraisemblablement non fiable. Par chez nous inutile de vous dire que je "Je n'aime pas" était dans les bouche de tous avant le vote mais... Les supporters de Yingluck Shinawatra, l'ancienne premier ministre destituée par un coup d'état militaire en mai 2014 a reconnu la défaite, ce résultat n'a pas fait grand bruit. La vie continue, tous attentent les futures élections sans pour cela vraiment y croire. Le "Guénéral" devenu premier ministre depuis peut jubiler ! Le bouclage politique du pays et désormais constitutionnellement officiel, la quasi éradication des velléités "des rouges" et la main mise de l'armée sur le Royaume sont un constat inéluctable !
Même si quelques jours plus tard, une série d'attentats meurtriers eurent lieu durant le long week-end de la célébration de la fête des mères (12 aout) jusque dans certaines stations balnéaires dont la fameuse Hua Hin ont fait douter les militaires (cela les aurait arrangés ?) sur une vengeance des partisans du "Je n'aime pas", leur ennemi intime et tenace, cependant la police a très vite orienté l'enquête vers les activistes musulmans du sud du pays et à ce jour, personne ne peut contester cette version.
Illustration de cette rivalité jamais assouvie :
Où lorsque les règlements de compte Armée-Police passe par les bordels, heu... Pardon, les salons de massage de Ratchada : L'armée débarque au Nataree puis le fait fermer après le constat de nombreuses irrégularités fiscales, de manquement au vue des lois sur l'immigration (de nombreuses "masseuses étaient des birmanes "non déclarées") et litchi sur le khanom, elles étaient quasiment toutes mineures et bien évidemment protégées par les policiers de Huay Kwang district.
Une semaine plus tard, réponse du berger à la bergère,
descente de police dans le non moins célèbre massage center Emmanuelle,
voisin du Nataree afin de prouver que eux aussi soutiennent l'effort des militaires dans leur campagne anti corruption.
Certes les messieurs propres du gouvernement font face à de plus en plus de scandales de corruption, d'abus d'argent public et de népotisme.
Dernier scandale en date, le ministre des armées et son équipe s'éclatent pendant un voyage à Hawaï !
Pendant ce temps là, dans l'ancien Royaume du Siam, une lueur d'espoir même si certains chiffres sont alarmants comme le nombre de naissance chez les adolescentes à ce jour estimé à largement plus de 100 000 voire 200 000 par an sans compter les avortements officiellement interdits et qui représenteraient le même chiffre, les Thaïlandais ont réussi à quasiment éradiquer la transmission de la mère à l'enfant du virus du SIDA... Désormais, de nombreuses campagnes de sensibilisation sur la protection durant les rapports sexuels, pour vous dire, la semaine dernière, la classe Tangmoo a été convié au sein du dispensaire du village pour une information à ce sujet. Le but étant de réduire les naissances chez les mineures et bien évidemment la transmission du virus du SIDA et autres maladies vénériennes.
Autour du referendum sur la nouvelle constitution
et
de la liberté d'expression en Thaïlande par ordre chronologique :
23 avril
13 mai
21 mai
L'article de AlterAsia
22 mai
L'article complet
31 mai
Article et vidéo sur le site Thai PBS supprimé ou censuré...
Juin.
Tom Dundee sous les verrous L'article Yingluck le retour !
Arrestation (article en anglais) Le jour de la constitution oublié ? Pas par tous ! (article en anglais)
Opposants en prison ! (Article en anglais)
Juillet.
L'article L'article L'article
L'article L'article
Et pourtant le 7 aout, 60% voteront "Oui'
Même les pontes du Parti Démocrate ne sont pas d'accord.
Contre Pour
Et avant de se quitter...
L'article L'article
L'article
Paille Kheundheu...
Maintenant que tout est rentré dans l'ordre (je l'espère, rien n'est jamais sur, eh eh !)
le rythme de la publication des articles sur le blog va pouvoir reprendre son cours normal !
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