Découvertes de la route Australienne du Victoria

Publié le 10 avril 2016 par Lionsroad.eu

La route australienne est une chose que tu verras beaucoup si tu veux visiter le pays… Mais est-ce que la route australienne ce n’est pas le début des vacances ? En tout cas ce qui est sûr, c’est que c’est déjà dépaysant !

27 mars 2015 — 135 jours
Pour l’instant, on a surtout vu l’autoroute entre Melbourne et Geelong. Un peu de routes le long de la mer, mais jamais l’intérieur des terres. J’ai arrêté de travailler cette semaine, ce long week-end sera donc notre premier road trip (un peu plus préparée que notre tentative sur la Great Ocean Road) dans le Victoria Australien. Nous irons jusqu’au Grampians National Park, mais avant d’y arriver, la route australienne sera toute une découverte !

La route australienne dans le Victoria

Nous sommes fin mars, cela fait donc presque un mois que nous sommes en automne (ici, les saisons commencent le 1 du mois).
Cependant, les couleurs, autour de nous, tirent plus sur le jaune « sècheresse », que sur le brun-rouge des feuilles flétries qu’on a l’habitude de voir, en Europe, à cette saison.

À première vue, les routes australiennes ne sont pas mauvaises : l’équivalent d’une route départementale dans un coin perdu… Quelques trous et fissures, mais rien de dramatique.

Autour de nous, il y a des champs (surtout des céréales) et des prairies (surtout des vaches et quelques moutons).
Il y a aussi beaucoup de kangourous qui narguent le bétail en sautant d’un côté à l’autre des clôtures.

Dans les champs, de monstrueuses structures métalliques montées sur roulettes, avec des tuyaux qui pendent, ont l’air de tourner en rond. On comprendra que ce sont des systèmes d’arrosage lorsqu’on verra de l’eau couler des tuyaux. Vu la couleur jaunie de certaines prairies, ces machines ne sont pas superflues. Petit aperçu depuis le ciel

On voit, aussi, de temps en temps, des petites éoliennes type « petite maison dans la prairie » qui ont l’air d’être des pompes pour sortir l’eau du sol. Ça devait être l’ancienne technique. Les plus jolies ne sont plus en activités, mais on en a aussi vu quelques plus modernes dans les prairies plus reculées.
On croise, de temps en temps, quelques fermes et d’énormes (mais vraiment grand) complexes pour l’entreposage des grains.
Il y a, pour finir, de temps en temps, quelques petits villages, mais plus on fait de kilomètres, plus ils semblent espacés.
Nous découvrons en passant que la notion de ville est très variable… On dirait qu’en Australie, on appelle un village « ville » dès qu’il y a plus d’un pub dans LA rue principale… 😀

Après la « ville » d’Ararat, nous faisons une pause pour manger et voir nos premières peintures aborigènes, sur un point un peu en hauteur, qui offre une très jolie vue sur les Grampians. Il n’y a aucune explication sur la signification du dessin, nous en trouverons probablement un peu plus dans les parcs nationaux.


Alors, tu pensais que ça ressemblait à ça l’Australie ? Perso, je voyais plus du désert…
Et toi, qu’imaginais-tu de la route australienne ? Raconte-le-nous en commentaire !

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