Un an auparavant, nous découvrions Arizona Muse en héroïne mystérieuse du premier volet de ce qui sera la saga du Voyage Louis Vuitton. Et on retenait surtout l’image pleine de promesses de l’imposante montgolfière prenant son envol depuis la Cour Carrée du Louvre.
Antoine de Saint-Exupéry écrivait au siècle dernier : « Faites de votre vie un rêve et de ce rêve une réalité. » Une phrase qui résume parfaitement le message que Louis Vuitton veut nous faire passer à travers son deuxième opus L’invitation au voyage – Venise.
Retournons quelques siècles en arrière, nous sommes à l’époque de la renaissance italienne (il rinascimento) :
Arizona Muse, alliant le chic à l’audace, confirme son esprit d’aventure dans un deuxième épisode qui la voit se poser à Venise, en pleine nuit, à bord de sa montgolfière à rayures rouges et blanches. Au cœur de cette cité mystérieuse, elle arpente les arcades de la Piazza San Marco et entend une musique qui l’intrigue, émanant d’un Palazzo. Elle pousse la porte de ce palais avec détermination.
Un homme est assis devant un clavecin. C’est David Bowie. Leurs regards s’accrochent l’un à l’autre. Elle est subjuguée par sa beauté et son élégance, c’est une icône, « l’anglais le mieux habillé de tous les temps » selon la BBC. Le musicien joue I’d rather be high, dernier titre de son album The Next Day dans une version clavecin, inédite, qui semble inventée pour elle. La magie de la musique opère ; Arizona est soudain entourée de personnages plus extravagants les uns que les autres qui semblent surgir d’un rêve…
Le bal masqué bat son plein, les courtisanes ne manquent pas, des regards se croisent et se décroisent, des lèvres s’effleurent, l’érotisme ambiant est palpable. Arizona Muse et David Bowie se lancent eux aussi des regards enflammés. Tandis que le top américain semble vivre un moment extraordinaire, tout en émotions, elle ferme les yeux…
Lorsqu’elle rouvre les yeux, la musique s’est arrêtée. Il fait jour. Tous ont disparu. David Bowie n’est plus là. Dans son sac Vivienne, Arizona trouve une partition, témoignage des instants inouïs, qu’ils ont, tous deux, partagés.
C’est décadent, extravagant, et c’est réalisé par Romain Gavras. On vous laisse découvrir les images du making off.
Arizona Muse incarne la femme Louis Vuitton qui prend en main son destin. Mieux, elle fait de sa vie un destin extraordinaire. Sans hésitation, elle va à la rencontre d’expériences exaltantes et hors du commun. Son audace est récompensée par une expérience unique, qui va réveiller en elle le goût d’aller encore plus loin. C’est une aventurière d’aujourd’hui, qui exprime sa liberté à travers ses choix. Elle nous montre que c’est possible d’avoir une vie palpitante sans sacrifier son identité ni son intégrité.
Véritable icône vivante, David Bowie ne cesse depuis ses débuts de faire bouger les frontières entre réel et imaginaire, masculin et féminin, flamboyance et apocalypse. A l’image de Louis Vuitton, il traverse les époques, les âges, les générations, s’aventurant toujours plus loin pour créer de nouvelles tendances pop, rock, funk, disco.
Dandy glam chic, David Bowie est connu pour son style unique sans cesse réinventé, il puise son inspiration dans une intarissable curiosité de toutes les cultures.
Du 24 au 28 juin, le tournage du film prend place à Venise. Aux manettes, on retrouve la maison Vuitton, l’agence BETC et la société de production Iconoclast. Au total, 350 personnes seront mobilisées pour ce tournage. Rien que l’éclairage de la place Saint-Marc aura nécessité une centaine de personnes.
Le film fut annoncé par une campagne très ciblée sur les réseaux sociaux.
Le spot a été révélé dans son intégralité le 7 novembre 2013, en avant-première sur l’application « Louis Vuitton Pass », disponible sur l’iTunes Store depuis le 2 novembre 2013. L’application donne également accès à des contenus exclusifs, parmi lesquels le making-of du film. La diffusion sur petits écrans débuta elle le 10 novembre 2013, et un mois plus tard dans les salles de cinémas.
Pour terminer, nous avons choisi de vous présenter la version « longue » de ce film, d’une minute trente (contre 60 secondes pour la version TV).
Nous remercions le service de presse de la maison Louis Viuton pour l’aide apportée et le matériel mis à disposition.