Se loger à New-York : une des plus grandes préoccupations pour beaucoup, mais qui n’était pas la mienne au départ. Avant de partir, rare sont les gens que ne me posaient pas la question fatidique : « As-tu trouvé un logement à New York ? ». Et la surprise n’était pas des moindres, quand je répondais à chaque fois, que je n’avais même pas commencé à chercher ! Mais comment voulez-vous trouver un logement, à distance, et complètement à l’aveugle, puisque je n’y avais encore jamais mis les pieds ?
J’ai plutôt procédé différemment : en arrivant, j’ai passé mes 10 premières nuits dans un hôtel, à côté de mon travail, seul point d’attache que j’avais à ce moment-là. En une semaine, j’ai agi rapidement pour me faire une situation. J’ai pu trouver un logement rapidement, ça n’a pas été évident, mais jouable. Je vous invite à découvrir comment j’ai fait, dans mon article une semaine chrono pour se faire une situation.
Une fois logé en sous-colocation meublée, pour 2 mois, j’ai pu enfin commencer ma réelle recherche d’appartement en location ! Pendant ce temps, j’ai pu inspecter les différents quartiers, et choisir celui qui me plaisait, avec un prix pas trop cher non plus.
Trouver le quartier qui vous correspond
Ce qui est fabuleux à New-York, c’est que chaque quartier a une ambiance particulière. Pendant mon premier mois, j’ai pu me familiariser avec la ville. Cela m’a permis d’inspecter les différents endroits, et de me faire une opinion. Je m’y suis baladée pendant les weekends et les soirs. Mais aussi, un de mes collègues m’a fait découvrir les différents coins de Brooklyn à vélo.
En parallèle, je me suis renseignée sur les prix moyens. Ils varient énormément selon le quartier et le type d’appartement. Puis, j’ai étudié le temps de transport entre nos lieux de travail, et sélectionné sur la carte, 2 zones avec le meilleur compromis : pas trop de temps de trajet, quartier qui nous correspond, accessibilité à plusieurs lignes de métro, proche de tous commerces, avec un prix qui rentre dans le budget. Google Maps est une application assez fiable pour estimer le temps de transport en commun à New-York, je vous le conseille.
Voici la carte des prix médian par mois en 2014, à la location, selon les quartiers :
Comme les prix évoluent très rapidement, je vous conseille de confirmer ces informations en allant voir les annonces d’appartements.
J’ai donc commencé les visites dans les quartiers Brooklyn Heights et Boerum Hill (carte) de Brooklyn. J’ai pu en trouver un dans ce dernier. Nous avons chacun entre 25 et 35 minutes de trajet pour nous rendre sur nos lieux de travail, nous sommes proches de Manhattan pour les sorties, et à maximum 10 minutes à pied d’une dizaine de lignes de métro. Et nous avons aussi pleins de petits commerces dans les environs. Le métro rencontre quelques fois des problèmes, mais je trouve que ce n’est pas si souvent que ça. En 8 mois, il m’est arrivé 3 fois de prendre une autre ligne de métro.
Personne n’en parle, mais il est possible d’habiter dans le New Jersey, tout en travaillant dans la ville de New York. Les premières villes du New Jersey, Hoboken et Jersey City, sont à 10 minutes en métro de l’Îles de Manhattan. Les avantages ? Vos impôts prélevés à la source sont calculés selon votre lieu de résidence. Si vous choisissez de vivre côté New Jersey, vous n’aurez pas d’impôts de la ville de New York à payer, ce qui augmente catégoriquement votre pouvoir d’achat d’environ 7 à 8 %. Par contre, les prix des loyers ne sont pas forcément moins chers, mais vous aurez bien plus de services dans votre résidence (piscine, doorman, salle de gym, etc.) et peut-être que vous bénéficierez de la vue imprenable sur les grandes tours de Manhattan…
Location meublée ou non meublée ?
Si vous êtes venu avec vos meubles, la question ne se pose pas (vous vous demandez si vous livrez vos meubles ou non outre-Atlantique ?). Mais si vous arrivez avec une valise, comme nous, vous êtes alors confronté à ce dilemme.
Au début, nous étions partis pour une location meublée. Pourquoi s’embêter avec les meubles, alors que nous sommes là pour quelques mois seulement ? Mais en cherchant, je me suis aperçue que les appartements meublés sont très rares et assez chers. Au final, nous nous sommes rabattus sur un logement non meublé, avec dans l’idée de se procurer du mobilier pas cher, et de le revendre une fois que nous partirons de New York. Finalement, ça revient aussi cher que de prendre un meublé (si vous restez au moins 2 ans), et le choix des appartements est plus large !
Cap sur les différents types d’appartement !
Il existe plusieurs types d’appartements et de résidences.
Les différents bâtiments
Les résidences avec salle de gym, laundry (laverie), doorman (portier) et autres amenities (commodités), sont des luxury building (résidences de luxe). C’est ce que nous avons.
Les immeubles sans doorman, avec environ 5 étages, s’appellent Lowrise. Et ceux avec beaucoup d’étages comme plus de 15, sont des High-Rise.
Les différents appartements
Studio, duplex, triplex et loft ont la même signification que chez nous. Par contre, ils ne connaissent pas le T2. Voici les équivalences :
Large studio T1 Bis
1BR (Bed Room) T2
2BR (Bed Room) T3
La surface est calculée en feet (ft). Pour avoir un ordre d’idée, voici la conversion : 3 ft = 1 m
À la recherche de son logement
Quand je suis arrivée, on m’a donné tout une liste de sites pour trouver un logement : rent, apartmentguide, apartmentfinder, craigslist, voilanewyork, sublet.
Je les ai tous testé, et honnêtement, le plus efficace (mais aussi avec le design le plus moche), c’est craigslist (l’équivalent du site Leboncoin). Quand vous arrivez sur la page d’accueil, cliquez sur apts/housing dans la rubrique housing. Il vous sera alors demandé si vous voulez voir tous les appartements, ou bien ceux seulement publiés par le propriétaire en lui-même (donc sans frais d’agence).
Agence immobilière ou entre particuliers ?
Le marché de l’immobilier à New York est saturé. La plupart des biens sont en agence. Et il est fort possible qu’un appartement mis sur le marché le lundi, ne soit plus à l’affiche le mercredi. Vous entendrez 2 façons de définir un agent immobilier : Broker ou Real Estate Agent, c’est pareil. Pour ma part, j’avais commencé par rechercher une location d’appartement, sans passer par une agence immobilière, dans le souci d’économiser les frais de cette dernière. Pourquoi ?
Parlons des fees (frais) du Broker justement ! La règle est : selon la période et le lieu de votre logement, la commission de l’agent sera payée, soit par vous-même, soit par le propriétaire. Dans certaines villes des Etats-Unis, comme Miami, les locataires ne paient pas le Broker. Mais dans certaines autres, comme notamment New York (pas de chance), c’est pratiquement systématiquement au locataire de les payer ! Les frais peuvent s’élever à 15 %… Ce qui équivaut à 2 mois de loyer. Mais je vous rassure, ils sont tout à fait négociables. J’ai pu les faire descendre à l’équivalent d’un mois de loyer.
Eh oui, au final, j’ai dû passer par un Broker. Effectivement, en réfléchissant un peu plus, l’aide d’un agent peut s’avérer utile, notamment pour gagner du temps. De plus, quand vous lui communiquerez votre budget loyer par mois, il inclura ses frais pour que vous n’ayez pas à débourser plus. Ça arrive, mais très rarement, que les frais du Broker soient payés en totalité par le propriétaire. Il faut avoir de la chance et tomber dessus au bon moment !
Très important : sachez que toutes les agences immobilières ont le même listing a 95 %, donc il n’y a pas besoin, et je vous le déconseille fortement, d’en contacter plusieurs (ce n’est pas bien vu), à moins que vous soyez mécontent de la personne. Le Broker que vous avez choisi vous accompagnera jusqu’à ce que vous trouviez. Ici, la qualité du service est bien meilleure qu’en France.
D’ailleurs, j’en connais un très bien, qui se démènera pour vous trouver le logement qu’il vous faut sur New-York. Donnez-lui votre budget, et vos attentes : et il se débrouillera avec ça ! Il ne parle pas français, mais après un tour du monde, il est assez ouvert d’esprit et s’adapte pour que la communication passe bien, donc pas d’hésitation ! Dites-lui que vous l’avez trouvé sur le blog de Sarah. Voici ses coordonnées :
Si vous recherchez côté New Jersey, voici quelques noms de grosses agences : Coldwell Banker, Prudential, Remax, Realtor.
Comment bien choisir son appartement ?
Contactez le propriétaire ou le Broker (agence immobilière), et partez à la chasse aux logements ! Rien de tel qu’une visite d’appartement pour se rendre compte du lieu !
Il faut savoir que l’été est torride à New York. Vous n’avez qu’à regarder les fenêtres des habitations pour vous en apercevoir. Vous remarquerez qu’elles sont toutes équipées de clims ! Ce genre de clims, visibles de l’extérieur, ne sont pas terribles justement. Elles sont rajoutées provisoirement à la fenêtre à guillotine, ce qui fait que étanchéité et isolation ne sont que bricolage. Moins efficace l’été, et très encombrante l’hiver, il est donc préférable de s’orienter vers une clim intégrée, à moins que vous aimez démonter et remonter tout cela à chaque changement de saisons. Vous ne voulez pas de clim, ce n’est qu’une option : vous aimez le sauna à longueur de journée ?
Très souvent, les washer dryer (lave-linge et sèche-linge) sont disponibles en laundry (laverie) dans le bâtiment. C’est très américain, j’imagine que vous l’avez déjà remarqué dans les films ! Dans ce cas, leur utilisation est payante, mais pas chère. Il faut compter 1,75$, quel que soit la machine. Il est possible, mais plus rare, d’avoir cet équipement dans l’appartement.
Que ce soit pour les locations meublées ou non meublées, la cuisine sera forcément équipée, c’est dans la loi. Aussi, en passant par un organisme de location, l’appartement sera toujours repeint entre un changement de locataires. Quoi de mieux que de rentrer dans un appartement propre, fraîchement rénové !
Quelque chose d’autre diffère… Nous sommes en location, et pourtant, nous sommes équipés d’un plan de travail en marbre ! À vrai dire, les matériaux sont de meilleure qualité que dans les locations que l’on peut trouver en France. On est loin de la « kitchenette » à 100€ d’IKEA.
Loyer et charges
Le montant du loyer ne doit pas être au-delà de 40 % de votre revenu. Si vous dépassez d’une centaine de dollars, il est tout à fait possible de négocier avec le Broker. Dans notre cas, le loyer était trop conséquent pour que je me présente seule sur le bail. Le problème était que Maxime n’était pas sur place à ce moment-là… Vous ne comprenez pas où est le souci ? Attendez de lire le chapitre déposer un dossier.
Faites attention sur les charges inclus ou non dans le rent (loyer). Nous avons seulement l’électricité à notre charge. Mais vous pouvez aussi payer, en plus, le chauffage et le gaz…
J’ai essayé à plusieurs reprises de connaitre le montant des charges inclus dans le loyer (chauffage et gaz). Mais je me suis plus fait passer pour une alien qu’autre chose… « C’est inclus, pourquoi posez-vous cette question ? » Le Broker ne savait même pas comment était chauffé l’appartement. Ici, pas de détails du loyer comme l’on peut avoir en France pour les charges locatives. Quand les charges sont incluses, elles sont incluses, point final, et donc, pas d’ajustement en fin d’année non plus.
Donc je n’ai aucune idée de ce que nous consommons en chauffage, et nous n’avons pas le pouvoir de le réguler. Tout ce que je sais, c’est que l’hiver, il fait toujours une chaleur, à faire fondre le chocolat… (Maxime en est très content d’ailleurs :-D) Au point de dormir les fenêtres ouvertes à -15°C !
Pour l’électricité, nous payons en moyenne 44$ par mois, sachant que nous ne chauffons pas à l’électrique. Pour Internet, nous payons 110$ par mois, pour le pack : fibre optique, câble TV, et téléphone fixe appels illimités aux USA. Vous remarquerez que c’est bien plus cher qu’en France ! Mais les offres sans la fibre sont nettement moins chers : les prix tournent autour de 50$ au mois.
Petit détail : vous prendrez surement goût à Netflix, fournisseur de films/séries en streaming, à 8$ par mois. C’est très réputé ici. Depuis 2014, il a fait son entrée en France, mais je ne crois pas que la population a été conquise, comme ça l’a été ici. Peut-être que c’est parce qu’il y a peu de choix dans le catalogue des séries ?
L’assurance logement n’est pas obligatoire comme en France, mais vivement recommandée, surtout pour les maisons. Ceci dit, nous n’en avons pas pris. Comme nous sommes munis d’une porte blindée, et d’un doorman à l’entrée du bâtiment, cela minimise les possibilités de vol.
Déposer un dossier
Dans le cas où le propriétaire ne peut pas savoir si vous êtes un bon payeur, il peut vous demander jusqu’à 3 mois de loyer d’avance ! Nous concernant, seulement le premier mois, un mois de caution, et un mois correspondant aux frais du Broker (agence immobilière) nous a été demandé. Incroyable quand on connaît notre situation à cette période !
Comment font-ils pour savoir si le locataire est solvable ou non ? Tout est basé sur votre credit history (historique de crédit). Comme vous n’en avez pas, et que vous ne savez pas ce que c’est, puisque nous n’avons pas ce système en France (bientôt un article sur ce sujet), le propriétaire ne peut donc pas savoir si vous êtes solvable ou non. Embêtant ! La deuxième possibilité est donc, à l’ancienne, comme chez nous, de nous demander nos bulletins de paie et relevés de banque. Ils envoient toutes ces informations à un organisme qui contrôle si nous avons des crédits en cours, et décide si nous sommes fiables ou non. Ça nous a coûté 60$ par tête, donc 120$, à payer en cash (espèce). Sans ça, pas d’appartement…
En plus de tout ça, il fallait aussi fournir notre SSN (qu’est-ce que c’est ?), la copie de nos visas, et nos Employment letters (contrats de travail américain). Et là, les choses se compliquent encore… Parce que Maxime n’avait pas encore, ni son contrat définitif signé, ni son visa (c’était en cours à l’ambassade), ni de SSN (qui est délivré une fois que la personne est sur place). Quand j’ai dit ça au Broker (agent immobilier), il s’est décomposé sur place. Prise au dépourvu, j’ai insisté sur notre solvabilité, notre situation d’immigrée pas très pratique, et je lui ai fourni les coordonnées de la société de Maxime, pour qu’il les appelle, histoire de se rassurer que le visa est bien en cours.
Pas facile, mais j’ai déposé le dossier comme ça : avec la moitié des documents manquants, et un cashier check (chèque de banque) de 2 650$ qui correspondait au deposit (caution). J’ai ensuite supplié Dieu pendant 1 semaine, et j’ai fini par avoir une réponse positive. Le tour était joué, nous avions l’appartement !
Signature du bail
La dernière étape a été la signature du bail. Là encore, c’était sport. Il a fallu que je regroupe le montant total qu’il restait à payer (frais du Broker et premier mois du loyer), en 2 jours ! Parce que la loi ici dit qu’à partir du moment où la transaction est acceptée, nous avons 2 jours pour signer le lease (bail). Mission : trouver plus de 6 000$ en 48h !
Et surtout, ne pas se louper aux heures d’ouverture de la banque ! En fait, c’est ce qu’il m’est arrivé : j’y suis allée un samedi à 15h10, hors elle était fermée depuis 10 minutes. Je voyais le Broker le soir même pour la signature… Pas moyen que ça finisse comme ça ! Les guichetiers étaient encore présents à l’intérieur. Qui ne tente rien, n’a rien, donc je me suis agitée devant la porte, dans l’espoir de me faire repérer. Avec succès puisqu’une personne est finalement venue ouvrir, pour me signaler gentiment que l’agence était fermée, au cas où si je n’avais pas vu. Avec mes tripes, j’ai insisté en argumentant que c’était très urgent et que m’a vie en dépendait (c’était presque ça). Elle m’a laissé entré… et m’a fait les chèques de banque. Je l’ai remercié peut-être une centaine de fois, avant de m’éclipser, heureuse !
Arrivée à l’agence immobilière, fin prête pour signer mon premier lease (bail) ici, le Broker m’a présenté un dossier avec plusieurs pages de format différent (ils aiment bien faire simple…), à signer bien évidemment. J’ai dû mettre 1/2 heure, après qu’il m’est tout expliqué, pour relire le bazar. En gros, c’est du genre : si vous avez un enfant entre-temps, vous êtes dans l’obligation de le signaler au propriétaire. Pourquoi faudrait-il son autorisation ? En fait, c’est juste parce qu’ils sont contraints de mettre en place certaines dispositions de sécurité.
Bref, le problème était, encore une fois, que je n’étais pas toute seule à devoir signer le bail. Donc il a fait un petit aller-retour en France.
Quand vous signez un bail de 1 an à New York, vous êtes bloqué dans l’appartement pour toute cette période. Si vous partez avant, vous aurez quand même à payer jusqu’au bout. Ce qu’il se fait alors : une personne qui part avant la fin de son bail peut sous-louer, à ses risques et périls, à quelqu’un d’autre.
Pour certains contrats, le bail est à signer tous les ans. Et vous êtes repartis à chaque fois pour un an. Pour d’autres, le bail est renouvelé automatiquement, et vous pourrez, dès la fin de la première année, partir, sous réserve de prévenir le propriétaire à l’avance.
En arrivant dans l’appartement
Remise des clefs et état des lieux
Le jour de mon arrivée, j’ai pu récupérer les clefs auprès du doorman. À New York, l’état des lieux d’entrée et de sortie n’existe pas. En fait, il est normal de récupérer un appartement propre et rafraîchi. Pendant notre occupation dans ce bâtiment, quand nous avons un problème avec les appareils ou autres, nous le signalons au personnel qui se charge de réparer. Et le jour où nous partirons, de nouveau l’appartement sera nettoyé et repeint.
Services à mettre en place
Pour les services à mettre en place, c’est mon agent immobilier qui m’a guidé et m’a donné les contacts. J’avais juste à ouvrir un compte à Con Edison pour l’électricité, et à Time Warner pour Internet. Pour information, vous n’aurez pas le choix que de prendre seulement les prestataires que l’agence immobilière vous donne, même pour Internet !
Sans credit history (historique de crédit), il est parfois demandé de verser 300$ de caution. Pour l’éviter, demandez de souscrire au direct debit (prélèvement automatique) dès votre inscription. C’est ce que j’ai donc fait pour l’électricité et Internet. Pour ce dernier, un technicien s’est déplacé à mon domicile sans frais, pour tirer les câbles jusqu’à l’endroit exact de la TV, je n’ai rien eu à faire ! D’ailleurs, c’était un peu contraignant, parce que je n’avais pas encore réfléchi à l’endroit où la mettre !
Avez-vous déjà eu une expérience équivalente ? Savez-vous si c’est le même principe dans les autres villes des Etats-Unis ?