Il y a quelques mois, nous avions rencontré Clément Burelle, photographe autour du monde. Aujourd’hui, Clément est à l’initiative d’un nouveau Collectif de photojournalistes appelé « Vies de Quetzal ».
Vies de Quetzal, c’est quoi ?
Depuis 2011 il effectue des travaux photographiques auprès des peuples indigènes (Papouasie, Guatemala, Colombie, Bolivie) et des voix minoritaires (SDF, enfants des rues, autistes, clandestins). Durant ces années, Clément a opté pour la photographie comme outil principal de réflexion sur sa route tout en l’adaptant pour parvenir à la combiner à l’art de rue et à la création de reportages.
Après plusieurs années de test entre ateliers, cinéma itinérant, street art et autres, il s’est associé avec des photographes, écrivains et artistes afin de monter ce collectif qui souhaite « donner la parole aux sans voix ».
Le concept est simple : réaliser des reportages par la biais d’ateliers photos auprès de voix minoritaires, et diffuser ces derniers par le biais du street art et de l’art de rue.
Une campagne de crowdfunding a été lancée
Il vient d’officialiser la chose il y a quelques jours en lançant une campagne de crowdfunding (financement participatif) et fait appel aux lecteurs de Caraporters qui souhaitent les accompagner dans cette démarche.
Différentes manières pour soutenir ce projet novateur, que ce soit via vos réseaux ou via des contreparties allant de 5€,10€, 25€, 50€ et plus. Ces petites sommes permettront une fois rassemblées de créer un réel budget qui permettra de produire et diffuser au mieux ces reportages.
Rendez-vous sur Kisskissbankbank pour soutenir le projet Vies de Quetzal.