Je l’ai déjà dit et le redirai au besoin : il faut lire l’Apocalypse, et lire aussi l’Ancien Testament. Pas pour leur message, mais pour leur beauté intrinsèque. Parfois, la parole sacrée prend la forme d’une poésie presque ésotérique, dans laquelle du sens est révélé. Les religions de la révélation sont percluses de ces petits aphorismes qui ne veulent pas dire grand-chose du sacré, une fois sortis de leur contexte, mais qui en eux-mêmes sont d’une beauté dévorante, presque indécente…
« Je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. »
Apocalypse de Jean, 3:3.
Si vous voulez en connaître le sens réel, beaucoup moins prosaïque, ce sera à vous de chercher, mais restons-en là… de grâce !!
Le Christ de la Pentecôte - Vitrail de la Cathédrale de Bourges - Photo © Les amis de la cathédrale de Bourges