Retour en terre d'ISAN !

Retour en terre d'ISAN !Depuis notre arrivée en ISAN, à Pangkhan, la pluie nous suit comme un fil à la patte ! Des trombes d'eau nous laissent présager d'une mousson précoce, mais les degrés sont là, les parfums de terres humides embaument l'atmosphère, nous ne pourrons nous en plaindre ! Nous pouvons même nous en délecter ! Oui, nous en délecter, car nous avons passé un mois en Bretagne sous le déluge, nous avons été copieusement humidifiés, écornés par le vent et, cerise sur le gâteau, totalement frigorifiés, un vrai dépaysement pour desRetour en terre d'ISAN ! « ISAN » en goguette, tellement habitués aux températures tropicales. Enfin « toutes les bonnes choses ont une fin » et la veille de la fin du règne de Sarkozy, nous partions de Paname sous une pluie sporadique pour rejoindre la cité des anges, Bangkok, via Colombo.

A Paris, nous passions deux belles journées en bonne compagnie, allions dîner( comme dab) lors de la première soirée au Sukhothaï, rue Custine, XVIIIème, escale obligée, où la cuisine thaï est vraiment au top du top.

Retour en terre d'ISAN !


« PUB » :

Sans détour, je vous le conseille, un pur moment de bonheur ! Manager de Khon Kean (charmante), cuistot de Sukhothaï, serveurs ISAN, cuisine hors paire, si vous ne connaissez pas, hésitez sur les plats, accompagnés d'un thaï pour la commande , c'est mieux, mais si vous êtes seuls et sans connaissance de la cuisine du pays du sourire, faites confiance au serveur, demandez, poissons ou viandes, en soupe, en salade, du aigre, du amer, du doux et du fort, du grillé, du frit  et vous serez...Une pure merveille ! Réservez, sinon...

Une deuxième soirée nous permettait de rencontrer C., du virtuel à la réalité, comme quoi cela arrive ! Puis toujours sous une bruine latente, nous rejoignions Roissy CDG, pour embarquer vers l'est, l’extrême orient, la Thaïlande, la boucle était faite, il était temps de rentrer chez soit ![...]

Je ne reviendrais pas sur la Srilankan Airlines, trois articles plus tôt, on en parlait déjà, Retour en terre d'ISAN ! un personnel accueillant ne fait pas tout ! Le voyage devait se faire en deux temps, jusque là, rien d'anormal, mais...Un énorme trou d'air(une pensée pour M.), un comme ceux que l'on se rappellera toute notre vie nous attendait lors de notre descente vers Colombo et heureusement que nous étions en phase d’atterrissage, c'est-à-dire tous attachés, car deux hôtesses qui terminaient de ranger le fourbis furent ramener vers le plafond de la carlingue alors que tous les passagers crièrent comme un dernier cri avant les portes de l'au-delà ; mais cela aurait pu arriver avec n'importe laquelle des compagnies d'aviation sillonnant la planète, mais cela restera dans notre inconscient, associé définitivement à la Srilankan Airlines, oups...Enfin, nous ne sommes pas morts puisque je vous écris encore aujourd'hui avec vue sur mon jardin verdoyant de l'ISAN ! Un petit mot pour les deux hôtesses qui purent nous prodiguer malgré tout leur AYUBOWAN(sawadee), les mains jointes sur la poitrine...Plus de peur que de mal !

Retour en terre d'ISAN !Nous arrivions donc à Bangkok sans encombre, quittions A. et sa petite famille qui lors du voyage était venu vers moi, timide et réservé, pour me demander si j'étais bien Jeff de Pangkhan, celui du blog( il y en a un autre ?)...Comme quoi, le monde est petit...( Oh Jeff ! Les chevilles). A la sortie de l'aéroport, la cité des anges et sa chape de plomb nous accueillait les bras ouverts, enfin du chaud, bien humide, comme on aime...Chemises trempées et jambes lourdes, embouteillages chroniques, foule à tous lesRetour en terre d'ISAN ! coins de rue, nous y étions. Un petit stop du coté de Huay Kwang, quelques tours de marché, un bon Somtam, une cuisse de poulet grillé, du riz gluant, une bière Chang, un tour au Far-West en compagnie de H., une rencontre fortuite au hasard Retour en terre d'ISAN !d'un bistrot, celle avec Luciano, restaurateur à Hua-Hin ! On était vite remis dans le bain !

Et puis, parce que l'aviation avait fait son retour en province de Roi-Et, nous partions vers l'ISAN , très tôt, 6h00 du mat', accompagnés de la pluie, bien-sur !

Retour en terre d'ISAN !

Dong Muang, l'ancien aéroport international a ré-ouvert après les inondations de l'hiver dernier, les coucous de Nok Air, compagnie à bas cout sont en place, décollage impeccable, toujours dans le gris !

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A l'approche l'ISAN, la région de Kao Yaï,comme quoi il reste des forets en Thaïlande, certes très peu, mais...

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Dans la carlingue, c'est plutôt "low cost", gobelet d'eau rikiki et sandwich raplapla  qui détrônerait pour sa misère, le fameux sandwich SNCF !

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L'ambiance est bonne tout de même, eh ! Une heure et demi de trajet au lieu de douze heures de minibus ou bus tout court !

On pose pour la postérité !

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Le ciel se charge, ça se précise !

Retour en terre d'ISAN !

Après avoir troué les nuages, nous découvrons un puzzle, une mosaïque de rizières, nous y sommes presque !

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Une heure et demi de vol plus tard, grâce à « un tagazou à hélices » de 29 places, ISAN, nous arrivons !

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Roi-Et tarmac, sans encombre !

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Et après l'atterrissage ?

A lire la semaine prochaine avec le retour de la « Gazette de Pangkhan » !

Depuis un gros mois, qu'à t-il bien pu se passer au village du « Farang-Isan » ?

Les pipelettes du quartier ont bien fait le boulot !

Paille Kheundheu !

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