Deux choses me frappent ce matin :
- La première, c'est que les gens sentent le parfum. Très fort.
- La deuxième, c'est que je dois désormais faire gaffe à ce que je dis. C'était bon de vivre dans un endroit où personne ne parlait ma langue et où je pouvais dire tout ce que je voulais haut et fort. A l'inverse, je comprends également toutes les conversations (qui sont parfois très drôles). Il est désormais difficile de se concentrer quand je lis dans les espaces publics.
Ce contenu a été publié dans Suisse, Vie quotidienne par Karine. Mettez-le en favori avec son permalien.